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 boredom is the root of all evil (kick)

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Silke Huysmans
Silke Huysmans
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MessageSujet: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyMar 15 Déc - 18:30

elle s'ennuie, silke. s'emmerde royalement dans sa cage dorée. les jours qui défilent, se ressemblent tous, elle glisse dans l'existence sans y laisser sa marque, si ce n'est à même son épiderme. entrelacs de cicatrices qui se dessinent sur la peau diaphane, le long des bras. peau si fine qu'on en verrait presque le bleu des veines transparaître. le souffle qui sort plus dans un soupir qu'une simple expiration, comme si le simple fait de respirer lui demandait déjà trop d'énergie, trop de gaspillage. elle écoute même plus, pendant les repas de familles, le soir. laisse le temps s'enfuir en se demandant pourquoi il s'éternise, aimerait le voir filer plus vite. surtout quand sa mère est là pour lui demander comment s'est passée sa journée, comment s'est passée sa nuit, comment s'est passée sa balade. présence étouffante d'une mère qui scrute le moindre mouvement de sa fille, guette le moindre signe de faiblesse, bien décidée à ne pas rater le prochain signal, le prochain moment de faiblesse d'une silke qui essaierait à nouveau de passer l'arme à gauche. deux fois déjà. deux fois que ça va trop loin, deux fois qu'elle termine à l'hôpital, deux fois que sa mère manque l'arrêt cardiaque et que son frère manque de la buter au réveil. le pire, c'est qu'elle sait même pas pourquoi ça a dérapé, la deuxième fois. la première, oui, même si elle préfère ne pas en parler. garde pour elle sa stupidité adolescente d'avoir laissé trop de pouvoir à un connard. pourtant, elle aurait pu, se venger, profiter de la rage d'egon. elle aurait pu, tout expliquer à son frère, lui raconter ce que l'autre a pu lui faire subir, aussi bien mentalement que physiquement. elle ne peut que très bien s'imaginer la réaction du grand frère, encore plus sanguin à l'époque que maintenant. peut déjà le voir retrouver ce bâtard pour l'étouffer avec ses propres dents qu'il aurait explosées préalables. ou peut-être qu'il l'aurait étripé, l'aurait laissé les entrailles à l'air, crever lentement en se vidant de son sang. ou mieux encore, lui aurait coupé les couilles pour l'étouffer avec. sauf que non. elle a pas pu. incapable de signer l'arrêt de mort de celui qui avait pourtant bien failli signer celui de la brune après l'avoir finalement abandonnée comme on jette un préservatif usagé. reste d'attachement, semblant d'emprise qu'il avait encore sur elle, malgré tout, ou simple élan de bonne conscience, elle a jamais vraiment su mettre le doigt sur ce qui l'a empêché de parler, de dénoncer, de condamner. silence qui la ronge, parfois, poison qui la détruit à petit feu. ça vient peut-être de là, cette deuxième tentative. reste de gangrène qui lui pourri les entrailles, lui bouffe les neurones sans qu'elle ne s'en rende compte. fini par reprendre le pouvoir, acte désespéré qui lui aura couté sa liberté. le retour forcé à la maison, amer, mais pas d'autre choix que d'accepter, blasée. le portable qui vibre sur la table de chevet, et elle se demande qui ça peut bien être, au milieu de la nuit. le nom qui s'affiche. of course. y a que lui pour ce genre de connerie. soupir d'exaspération alors qu'elle refuse l'invitation, avec toute la délicatesse et le tact qui lui est propre. échange qui se poursuit, et elle finit par céder, les yeux qui roulent vers le plafond alors que la langue vient claquer contre le palais. quitte à s'emmerder. le corps frêle qui s'extirpe des draps, attrape un jean, un pull qui traîne — hors de question qu'elle fasse un effort pour lui. elle se bouge, c'est déjà bien. chaussures enfilées, elle ouvre la fenêtre, attrape la branche de l'arbre le plus proche, fidèle compagne de ses escapades nocturnes. ombre qui se faufile à travers les ruelles, rejoint la maison, bruit de fête qui lui parvient déjà à l'autre bout de la rue. à se demander si ça lui arrive de passer une soirée dans une maison vide. elle parvient sur les lieux du crime, se demande ce qu'elle fout là, parmi tout ces corps éméchés, plus ou moins à s'entasser les uns sur les autres aux quatre coins de la maison. l'oeil morne parcours la foule à la recherche de kick. pourtant pas petit, elle devrait réussir à le trouver facilement non ? nowhere to be sin. la langue qui vient se coincer entre les dents alors que le coin des yeux se plissent. parce que damn, s'il la faite sortir de son lit pour rien, elle le bute. pas gênée le moins du monde, sirène qui se fraye son chemin jusqu'aux escaliers, comme si elle était chez elle. parce que s'il est pas en train de prendre part à l'orgie en bas, c'est qu'il doit être dans sa chambre. elle ne prend même pas la peine de frapper, s'invite sans qu'on ne le lui demande, and there he is, bien occupé avec une brune. ou une rousse ? elle voit pas bien, fait trop noir, mais dans le fond, elle s'en fout. l'épaule vient se poser contre l'encadrement de la porte. « oops, pardon, je dérange ? » plus pour signaler sa présence que par réel souci de s'incruster quand sa présence ne serait pas souhaitée. le corps qui se détache du mur alors qu'elle s'avance, se laisse tomber sur le lit, le dos qui vient se coller au mur alors que les jambes se croisent, étendues devant elle. les bras qui viennent se croiser sur la poitrine alors qu'elle arque un sourcil en direction du blond, ignorant royalement la idiote assez conne pour venir se perdre dans les bras de satan himself. « là, je suis venue, t'es content ? mais j'espère que tu m'as pas fait venir pour rien. sinon je me casse. » repartir aussi vite qu'elle est venue parce qu'elle s'ennuie ? been there, done that.
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyMar 15 Déc - 19:56


une autre soirée. trop de monde. trop d'alcool. trop de coke. wanna be roi de ses propres enfers décadents. parce que quand y n'y a personne le soir, à sniffer sur la table de verre de la cuisine, à faire des fellations sur ton canapé ou à démonter dans ton lit, c'est trop vide. il y a trop de place pour tes pensées qui deviennent vite envahissante, les idées plus sombres que du noir sans reflet, les fantasmes de violence plus gore que tes films encore. c'est moins pire quand tu t'es enfilé quelques bouteilles, le nez poudré, le défi trouvé. une nouvelle catin, les cheveux couleurs flammes là où t'as toujours préféré les blondes, mais tu manges de tout. nouveau goût pour l'exotisme pour t'arracher aux aryennes qui pourraient bien être tes cousines, who knows. elle est juste conne ce qu'il faut, juste bonne ce qu'il faut. se prend pour une queen, de l'égo plein ses jolies lèvres gonflées. elle a une trop grande gueule et tu te demandes gentiment jusqu'où elle s'étire. le son que ça fait quand elle gag, contre ton bois ou contre ta main par exemple. elle se mêle pas de ses affaires, fout son nez où elle ne devrait pas. elle te casse les couilles, mais tu veux la baiser quand même. elle pense qu'elle est brillante, écoeurant ''i'm not like the other girls" qui la met exactement dans cette catégorie-là, de celles qui essayent trop et qui sont, de ce fait, exactement comme les ''autres''. elle fait la smart assez en te promettant que tu ne la coinceras pas, en faisant genre elle peut entrer dans ta tête parce qu'elle est plus forte, parce qu'elle en a vu d'autres. elle a aucune idée. parce que of course qu'elle veut ta bite, elle flirt comme une chienne en chaleur, le bout des doigts qui effleurent les cicatrices sur tes poignets, cachés sous les tatouages, achève de te donner mal au coeur. " tu ne voulais pas vraiment mourir, sinon t'aurais tranché dans l'autre sens. c'était un appel à l'aide. " quelle affirme alors que tu fais genre, hoche la tête, un sourire en coin quand tu mens, qu'elle a raison, raconte les mêmes mensonges qui te ramènent à l'hôpital après une énième baise avec ton ex qui à mal tournée. et ça te ramène à celle à qui t'as menti, la tête qui file dans la wanna be nostalgie plutôt que dans l'ennuyeux qui coule de ses lèvres. ton attention qui la quitte pour glisser sur ton portable, sur le nom de silke quand le sourire renaît, quand les gentilles vannes s'échangent. le diable qui l'invite en enfer, elle refuse, en a assez du sien. sauf que le malin insiste, insiste toujours comme il ne s'est même pas donné la peine d'insister avec la rouquine. parce que ça la pique que tu ne lui portes plus d'attention, qu'elle s'accroche à toi au moment où tu souris à une autre au travers de l'écran. une autre qui viens d'accepter l'invitation et c'est ainsi que la rousse te proposes que tu lui fasses visiter le reste de ta maison. un rire, le portable rangé, la mission terrible en œuvre. parce que la rousse te suis jusqu'en haut, tu lui fais visiter, les chambres, ton bureau, toutes les pièces inutiles que t'utilises jamais. une bibliothèque, un deuxième salon, tu lui fais pas visiter toutes les salles de bain, sauf une, celle de ta chambre où dors un miroir et de la coke. tu prends un rail, elle deux. crazy bitch. et ça prend pas beaucoup plus pour qu'elle essaye de t'embrasser. que tes lèvres valses plutôt vers sa gorge à mordre, les mains qui tirent déjà sur sa poitrine quand tu lui arraches ses vêtements. la torde dans ton lit en la baisant avant violence, très peu de préliminaires si ce n'est ta queue au fond de sa gorge. délicieux. parce qu'elle la ferme enfin. n'as plus que des petits gémissements de salope à offrir. et tu pensais finir plus vite, finir à temps, sauf que tu prends ton pied et écrasant le tien contre son visage à elle, tout en continuant à la défoncer. moment tout désigné pour l'apparition de la huysmans. celle que la vision de l'enculade brutale ne vient pas faire trembler, ses fausses excuses qui se glissent entre deux cris de mademoiselle, ton sourire qui s'élargit et ton plaisir qui ne sait que se gonfler davantage lorsqu'une intrus regarde du bout de la porte. que tu la regardes en échange, en continuant de ruer la pétasse de coups de bassin. il faut en plus qu'elle vienne se poser à côté de toi, dans le lit et y'a un rire qui sort en grondement, de profond dans tes poumons. une main contre la nuque de la petite conne, toujours bien enfoncé en elle. " j'termine puis j'suis à toi. " que t'annonce, la main libre qui vient attraper le menton de silke pour qu'elle te regarde, ses yeux dans les tiens pour quelques coups encore et ça t'aides, ça, à gronder une dernière fois, à de retirer de la belle salope, jetant le préservatif dans son dos pour la repeindre de ton sperme et tant pis si ça lui salit les cuisses dans la giclée. tu les relâches toutes les deux. poussant la rouquine hors du lit sans la moindre douceur. elle veut se plaindre, te grattifie d'un "what the fuck". tes yeux qui roulent quand tu lui craches un : "dégage." elle se plaint, quel genre de connard t'es ? qu'elle demande. tu soupires, gronde pour tirer le bras jusqu'à la table de chevet, attrape trop de billets pour ce qu'elle mérite et lui balance à la gueule.  "shut the fuck up. get out. " et c'est que malgré le dégoût, elle ramasse quelques billets, au sol, avec son égo et les restes de sa robe. tu te laisses retomber sur le dos contre l'oreiller comme elle claque la porte, le soldat qui se met tranquillement au repos quand tu souris à silke, une main derrière la tête, l'autre  sur ton ventre. "jamais pour rien. t'as enjoy le show ? tu veux toujours pas ton tour aussi ? que tu la taquines même si ça t'excites déjà, de l'imaginer accepter et se pencher sur ta bite. te serres le ventre juste ce qu'il faut. parce que mademoiselle huysmans veut pas te baiser. crazy, right ? ça viendra, un jour, toi aussi, elle aussi. oh elle, elle va venir alright. parce que ça t'arrives de te forcer pour faire jouir les petites connes. en général, celles que tu connais un peu mieux, dont tu tolères l'existence. semblant des valeurs essuyées contre des draps intrinsèquement sales.


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Silke Huysmans
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyMar 15 Déc - 21:41

ça la dérange pas le moins du monde, de l'interrompre dans ses petites sauteries. et si l'idée lui venait de s'en plaindre, elle se ferait un plaisir de lui annoncer qu'il n'avait qu'à y penser avant de la tirer de son lit et la forcer à ramener son cul chez lui. pourquoi elle a cédé, elle sait pas trop. vaine tentative de tromper son ennui, probablement. et puis, ça fait un baille qu'elle l'a pas vu, et que dans ses souvenirs, il l'amuse, juste assez pour qu'elle pense à autre chose, l'espace de cinq minutes. ça et les marques sur ses poignets, sûrement, celles qui ont fini de la convaincre que peut-être, ils avaient quelque chose en commun. que dans le fond, il comprenait sûrement mieux que quiconque le pourquoi du comment elle a fini à l'hosto, plus que son frère. semblant de partage sur fond de lame de rasoir, ça a suffit à entamer ses réticences. mais quand elle le voit comme ça, elle se demande lequel est le plus fucked-up entre eux deux. lui, qui ne s'arrête pas dans son geste, continue à prendre son pied, peut-être encore plus excité que choqué de sa présence. ou elle, qui reste sagement assise, le laisse attraper son menton, un sourcil arqué au dessus de l'oeil presque noir, en attendant qu'il ait fini, sans ressentir aucune pitié pour ce qui s'avère être une rousse, vue d'un peu plus près. à partir du moment où elle a choisi de son plein gré de se retrouver dans un lit avec buskirk pour le laisser lui foutre son pied sur la gueule, elle ne mérite pas une once d'estime ou de respect quelconque. elle ne détourne pas le regard une seule seconde alors qu'elle attend qu'il ait fini de tirer son coup, pas l'ombre d'un sourire, alors qu'elle pourrait se foutre de la gueule de cette conne qui finit par terre, assez idiote pour avoir l'air surprise. les yeux qui roulent dans leur orbites alors qu'elle souffle, finit par lancer un regard désobligeant à la rouquine. « damn girl, tu t'attendais à quoi ? you should know better next time, darling. » la langue qui tic contre le palais, tututu, visage qui hoche de droite et de gauche, comme on réprimanderait une enfant qui vient de faire une bêtise. les billets volent, et ça pourrait presque lui arracher un sourire, si elle n'était pas autant décidé à lui faire payer le simple fait de l'avoir mise en mouvement. « hey, voit le bon côté des choses, tu repars pas les mains vides, ça pourrait être pire ! » parce qu'elle le connaît, assez pour savoir qu'il peut être encore plus bâtard que ça quand il le veut. elle finit par se casser, enfin, du calme si ce n'est les basses du salon qui résonne à travers le sol. parce qu'elle veut bien venir à une soirée, mais faudrait voir à pas lui demander d'être sociale, non plus. première question qui tombe, et elle pourrait presque en rire, se contente d'un scoff habilement maîtrisé alors qu'il se laisse tomber à ses côtés. « épatée par sa souplesse, j'avoue. » la deuxième question qui vient chatouiller le coin des lèvres. à croire qu'il a que ça en tête, vu la fréquence à laquelle il essaie de la choper, de vouloir venir se fondre en elle. ça l'amuse, silke, de voir à quel point il peut être obsédé par la question, quand les plaisirs physiques ont arrêté de la préoccuper depuis... ses dix-sept ans ? non pas qu'elle se soit abstenue depuis, mais elle l'a pas encore trouvé, celui qui arrive à lui faire ressentir le thrill, ce truc qui la rendrait dingue. le corps et le coeur trop amochés, trop défoncés par celui qui s'est octroyé tous les droits avec elle, celui qu'elle a laissé faire, sans rien dire, celui qui l'a faite pleurer de douleur autant qu'il a pu la faire hurler de plaisir, au gré de ses humeurs. les doigts d'une main qui vienne pianoter sur son torse encore en sueur, glisse jusqu'à son ventre alors qu'elle se rapproche juste assez pour avoir son visage au dessus du sien. « ça te plairait, hein ? tu kifferais, avoue. » qu'elle coule dans un souffle. et elle se demande, l'espace d'une seconde, si ça lui plairait, à elle. s'il arriverait à lui arracher des soupirs de plaisir, s'il arriverait à lui faire crier son nom, s'il serait capable de lui faire ressentir quoi que ce soit... mais non. rien. le froid reste glacial dans les entrailles. haussement de sourcil avant qu'elle ne se redresse, retrouve le mur, les doigts qui se détache de lui pour s'entrelacer sagement sur son ventre à elle. « mais nope, toujours pas. je suis pas contorsionniste, de un. et c'est pas mon genre, de jouer les putes ou les chiennes. » parce qu'elle en a vu assez se briser contre lui que pour avoir envie d'y faire un tour. « alors, kick, dis moi. pourquoi tu m'as fait venir ? t'avais l'air en plutôt bonne compagnie avant que j'arrive. nettement plus obligeante que moi, en tout cas. » maintenant qu'elle est là, elle aimerait autant qu'il la distrait assez pour qu'elle en oublie l'ennuie.
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyDim 27 Déc - 20:28

voyeur et exhib on the side, depuis la tendre adolescence, les lignes juste bien floues avec ton frère de galère t'avais habituer. sans doutes quelques jolies vidéos aussi, où tes performances et ta violence étaient mise à l'œuvre, masqué avec un bodysuit pour cacher tes tatouages, safety first when you are a fucker. c'est à peine qu'un clin d'oeil que tu donnes à silke, qu'une ombre des horreurs et pourtant ça ne la choque pas la huysmans, c'est encourageant. la langue de la sombre princesse qui se moque même de la pauvre rouquine qui ramasse le reste de son orgueil éclaté sur ton plancher, les cuisses tremblantes et le corps chancelant avant de se barrer. le rire qui secoue ta poitrine quand silke en rajoute face aux billets que tu lui as lancés, ceux qu'elle ramasse, évidemment, hoes be hoes. tranquille posé sur le dos, la bite qui cherche à se ramollir, à se calmer malgré la proposition. plus à la blague qu'autre chose, parce que si elle avait voulu te baiser silke, elle l'aurait fait depuis longtemps. si t'avais voulu la forcer, tu l'aurais fais depuis longtemps aussi. t'étais trop fasciné par elle pour risquer qu'elle panique, et tout, et tout. chacuns s'en sortaient dans ton monde, selon le niveau de plaisir qu'ils pouvaient faire bouillir en toi pour tromper ton ennui, ton vide. épatée par sa souplesse, nouveau rire creux dans ta poitrine devenue profonde par le plaisir. " j'tapprendrais, quand tu te seras décoincée. " que tu te moques autant que tu peux proposer ou provoquer. la sexualité complètement débridée à défaut de pouvoir jouir d'une gamme d'autres sensations internes. le plaisir et l'orgasme qui se veulent remplaçant d'amour, de sérénité, de joie ou de bonheur. ça comble, presque tous les soirs. ta liste d'amants qui en ferait très certainement pâlir les saints, good. very good. jamais fermé à y rajouter un nom, d'ailleurs. ça l'empêche pas, silke, de venir faire couler ses doigts sur ton torse trempé, l'oeil qui vrille vers elle et la bite qui s'excite déjà du contact. plus que si c'était n'importe quelle pouffiasse. sa main qui court vers ton ventre, son visage qui se rapproche du tien, la langue qui passe sur tes lèvres quand t'es à un souffle de lui faire regretter sa petite blague. " huh huh. " que tu réponds, grondements dans l'affirmatif à défauts d'avoir de mots significatifs quand tu redeviens une bête, quand le sang quitte ta tête. sauf que non, elle finit par s'éloigner après t'avoir allumé de nouveau, le nouveau rire sombre qui se secoue hors de ta cage thoracique. c'est assez, assez pour te faire retrouver tes genoux, pour venir la surplomber, ses cuisses entre les tiennes et ce qu'elle a dressé qui se pointe de nouveau, bien droit et fier, vers elle. l'une de tes mains qui vient retrouver sa gorge, une caresse seulement, ton pouce qui retrace sa trachée. "ça pratiquerait ta souplesse et déconne pas, tu serais pas ma chienne, tu serais mon amante. " que t'ajoutes, ton tour d'approcher ton visage du sien, de laisser tes lèvres flirter avec les siennes sans l'embrasser. elle est déjà dans ton lit, ce serait tellement facile, de l'enfoncer dans ton oreiller, de l'entendre se débattre. un sourcil qui s'arque, son autre question qui devient flou quand les tiennes assènent ton cerveau, qu'elles glissent, hors de tes lèvres, risquées, sans demander la permission. " t'as pas peur ? tu ferais quoi si je décidais de me foutre de ton consentement ? tu joues toujours aussi dangereusement ou c'est juste parce que tu m'as apprivoisé ? " ou c'est juste parce qu'elle a zéro will to live. ça te fascine putain, quand tes yeux remontent dans les siens, quand tu questionnes, pour voir s'il y a des onces de peur ou juste rien. et tu ne sais pas, lequel tu trouverais le plus fascinant, qu'elle se retrouve ses instincts de survie où qu'elle n'en ait absolument aucuns. mais toutes ses conneries, ça ne t'aide pas à débander. loin de là. fêlé jusqu'au bout. et c'est peut-être ça le problème, quand les compagnies sont trop obligeantes, c'est chiant. des filles comme celle qui c'est barrée, tu en as baisé une, tu les as toutes baisées. les filles comme silke elles ne comprennent pas l'intérêt qu'elle ont et s'en est que plus fascinant. c'était pas ton idée première de petit jeu à jouer, mais tant qu'à y être.
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Silke Huysmans
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyDim 27 Déc - 22:24

léger rire qui se mêle au sien, parce que ça l’amuse, de voir les idées qu’il peut se faire à son sujet sous prétexte qu’elle se refuse à lui, encore et toujours. « qui te dis que je suis coincée ? je prends peut-être mon pied ailleurs… » pas forcément l’expression qu’elle utiliserait pour décrire le vide de sensation qui l’habite lorsqu’elle essaie de trouver un semblant de plaisir chez ceux qu’elle fait bien vite disparaître de sa vie pour leur manque d’intérêt, mais si ça peut suffir à venir bousculer la perception que kick peut avoir, ça lui va. « et c’est gentil, mais je m’en passerai. les pieds sur la gueule, vraiment, c’est pas mon kiffe. » sourire forcé qui vient étirer ses lèvres l’espace d’une seconde avant que la moue ennuyée ne s’invite à nouveau sur son visage. les doigts qui viennent pianoter sur son torse, son incapacité à prononcer le moindre mot qui lui arracherait presque un rire, si elle était pas décidée à tenir son rôle jusqu’au bout. ça l’amuse de voir à quel point un simple effleurement du bout des doigts suffit à couper la circulation dans sa cervelle, envoie le sang affluer entre ses jambes alors qu’elle se détache, reprend sa position initiale alors qu’elle attend une réponse à sa question. sauf qu’elle avait pas prévu qu’il morde à ce point à l’hameçon, sourcil qui s’arque alors qu’il vient s’installer sur elle, toujours à poil, sa main qui vient se poser sur sa gorge. elle devrait probablement paniquer, mais rien, toujours rien, même pas une petite palpitation, un battement de râté, que dalle. juste la curiosité de savoir jusqu’où elle peut pousser le jeu, si elle risque de dépasser les limites ou pas. ça éveillerait presque un semblant de thrill au creux des entrailles. presque. elle reste parfaitement immobile alors qu’elle garde sagement ses mains croisées sur son ventre, les prunelles fixées dans les siennes. hors de question de le gratifier du moindre regard vers ce qui semble guider la plupart de ses actes, son deuxième cerveau. « oh, trop mignon, vraiment ça me touche. » l’ironie qui dégouline de ses lèvres alors qu’il vient y coller les siennes, juste là, assez proche pour frôler les siennes sans pour autant venir l’embrasser, et ça lui arrache un sourire alors qu’elle vient planter ses iris dans les siennes, le regard défiant, curieuse de savoir s’il osera ou pas. pas pour l’instant apparemment. et au lieu de répondre à sa question, il l'assène des siennes sans lui laisser le temps de répondre. et ça l’amuse, de voir qu’elle arrive à venir perturber son monde, avec sa froideur et son calme olympien. « peur de quoi ? de toi ? » elle détache une main de son ventre pour venir attraper son menton alors qu’elle se redresse, les lèvres toujours à un souffle des siennes. parce que s’il croit lui faire peur avec ses menaces, il se fourre le doigt dans l’oeil, jusqu’au coude. been there, done that, un autre est passé par là avant lui, et si elle devrait avoir un quelconque instinct de survie, un semblant de panique qui devrait se réveiller à ce souvenir, il n’en est rien. le néant. la pression sur son menton qui s’accentue légèrement alors qu’elle vient taquiner sa mâchoire du bout du nez, vient glisser ses lèvres jusqu’à son oreille pour y ronronner des mots d’une douceur toute huysmansienne. « essaie pour voir, je me ferai une joie de t’émasculer et de t’étouffer avec tes couilles dans ton sommeil. » si son frère ne le bute pas avant qu’elle ne puisse se faire ce plaisir. si elle n’a jamais eu la confirmation qu’il avait déjà tué qui que ce soit, elle n’en reste pas moins persuadée qu’il en serait tout à fait capable. elle finit par se reculer, lâche son menton pour passer ses bras derrière sa tête alors qu’elle s’adosse à nouveau au mur. « et quant à ta dernière question, mon goût pour la vie est tout relatif, au cas où t’aurais oublié. et j’ai toujours adoré jouer avec le feu. » comme un désir de se brûler les ailes, de laisser des traces à même sa peau, juste pour voir si ça peut faire mal, si elle peut encore ressentir quelque chose. c’est qu’il commencerait presque à la distraire. « et donc ? t’en as d'autres, des questions, ou tu comptes répondre à la mienne ? »
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyMar 29 Déc - 22:21

sale petit jeu dangereux qui s'installe entre vous. mais si c'était risqué t'en banderais pas autant, comme elle a le loisir de l'observer. nouveau rire quand elle ramène le souvenir de ton pied sur la gueule de la meuf, comme excuse pour bouder tes hanches. "c'est un goût qui s'acquiert. " que t'expliques dans un sourire de requin. c'est plutôt un goût qui se force et qui devient une sale habitude, une impression de se donner, d'être à la merci ou d'être en danger, qui devient vite addictif, comme l'histoire l'aura prouvé. et vrai, c'est sans doutes de ne pas savoir comme elle va réagir, silke, qui t'excites autant dans toutes ses conneries. son ironie qui fait gentiment battre ton sang au bout de ton coeur comme une arme braquée sur elle. quand elle joue l'insolente, quand elle attrape ton menton de ses doigts. ses lèvres qui se glissent jusqu'à ton oreille, ses mots qui viennent t'arracher un frisson quand elle te lit ce qu'il y a sur son menu. "hum... stop flirting with me. " que tu ne te plains pas vraiment quand elle se recule pour prendre sa position initiale et que là, tu pourrais te plaindre si ses mots t'avais pas donné envie de l'épouser et lui abandonner les restes de tes filaments d'âmes. rien pour calmer tes perversions quand elle parle de son manque de volonté de vivre, celui-là même qui au bout de ses poignets, t'avais attiré la toute première fois. et elle revient avec sa question. huh ? tu bouges pas, perds pas le sourire de diable. y'a ta main qui vient attraper l'une des siens pour l'arracher de derrière sa tête, pour mieux la ramener et la forcer autour de ton membre en une caresse. l'arrogance de voir ce qu'elle va faire et ou quel menace elle mettra à exécution, jusqu'où elle osera serrer et te faire regretter. l'envie de sa cruauté qui t'excites plus qu'elle ne devrait par ce que t'y risques entre ses doigts. tu peux toujours attraper sa tête et la cogner fort, fort, fort contre la tête de lit, si ça fait trop mal, ses ongles, son poignet. "quelle question ? " que demande la bouche qui insiste près de la sienne, la main libre qui remonte contre sa joue, juste au cas où faut aussi que tu la défonces. parce que si elle te brises la bite, tu ne crois pas, pouvoir résister à l'envie d'éclater sa tête contre le mur jusqu'à ce que des bouts de sa cervelle coulent contre tes draps. oups. oups. oups.


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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyMar 29 Déc - 23:00

« laisse moi avoir des doutes sur la question. » parce qu'elle est certaine de ne jamais apprécier ce genre de connerie, de la part de qui que ce soit. aucune envie de servir de paillasson. elle s'est déjà faite piétiner, dans tous les sens du terme, et hors de question de repasser par là pour le bon plaisir d'un taré pareil. ses capacités neuronales plus qu'atteintes, de tout évidences, s'il en vient à considérer des menaces de castration comme du flirt. ça la ferait presque rire, lui arrache un sourire en coin alors qu'elle se redresse, s'éloigne de lui, presque fière de sa connerie si y avait pas cette intuition que lui est loin d'être au bout de la sienne, de connerie. il le lui confirme quand il vient attraper sa main pour l'enrouler autour de son membre. sourcil qui s'arque au dessus de la pupille surprise, parce qu'elle a du mal a croire qu'il puisse vraiment s'attendre à quoi je ce soit de sa part, autre que la douleur qu'elle peut lui infliger. et ça la fascinerait presque de voir qu'il ait autant confiance en lui, en cette peur qu'elle est censée ressentir, du moins suffisamment pour ne rien tenter. sauf que c'est mal la connaître. la main qui reste sage un instant, alors qu'elle attend de voir jusqu'où il est capable d'aller. son arrogance qui la ferait presque rire, presque, alors qu'il ose venir poser sa main sur sa joue, ses lèvres viennent chercher les siennes, encore, alors qu'il joue les ignorants. « t'as la mémoire courte. » qu'elle vient souffler contre ses lèvres, l'envie de venir y planter les dents pour le faire reculer, mais comme l'impression que ça ne fera qu'exciter encore plus son cerveau dérangé. les doigts qui viennent resserrer la pression, juste assez pour lui faire mal, mais pas trop non plus, histoire d'éviter les retours de flammes. pas vraiment envie de finir la tête éclatée dans le mur. « qu'est-ce que je fous là, kick ? parce que tu peux toujours rêver si tu t'attends à une branlette de ma part. y a plus de chances que je te les arrache qu'autre chose, your choice. »
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MessageSujet: Re: boredom is the root of all evil (kick)   boredom is the root of all evil (kick) EmptyLun 25 Jan - 1:05

là où silke doute, t'as l'assurance au coin des crocs. parce qu'il est là le danger. parce que si elle s'écorche à toi une fois, silke, elle y reviendra. parce que t'es la plus pointue des lames contre laquelle elle s'est pas encore percée. qu'elle doutes comme elle veut, toi, tu sais. un haussement d'épaule et l'excitation qu'elle fait danser dans les entrailles de par la violence. celle que tu lui fais en forçant sa main autour de toi. qu'elle mette sa menace à exécution, kamikaze qui ne demande qu'à voir les dégâts. la douleur en suspension comme aphrodisiaque. trop de front pour ne pas tenter le diable. le thrill qui nique les veines de ne pas connaître sa véritable sentence, dans la douleur, le plaisir, l'abandon ou la frustration. sa voix en menace brûlante qui ne fait que pulser ton sang plus fort, juste là sous ses doigts. comme promis, ses doigts se serrent autours de toi. oh c'est comme ça, quand les gens tiennent leurs promesses hein ? ta bouche qui s'entre-ouvre, le regard qui s'assombris, perdu entre la douleur et le plaisir, l'adrénaline et la fébrilité. l'envie qu'elle te brise comme promis où qu'elle te vide complètement de tout ce qui bouillonne en toi. sale con qui en tremble, hors de lui-même, abandonné à une main presque aussi cruelle que la sienne. "sounds good." que t'arrives à grogner sans répondre à ta question. ta main qui préfère s'enrouler à sa gorge aussi, que vous soyez à peu près à équivalence, à savoir qui serra plus fort et qui s'évanouira en premier. "mhmm... harder baby. " requête, question, qu'importe, ce qu'elle voudra. tes lèvres qui menacent encore les siennes, ta lèvre dans laquelle tu plantes tes dents, vaincre la douleur par plus de douleurs. tes yeux perdus dans les siens, là où dansent les flammes. le danger de la perdre au bord d'une connerie. moins inconsciente de tout le mal qu'il y a en promesse au bout de tes reins. "je m'ennuyais. je me disais que toi aussi. on peut tout faire, t'es la reine de ma nuit." une autre belle promesse à demi-mots. une que tu pourrais tenir, peut-être. ça reste à voir.

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