la tempête

nom Maverik, on t’appelle souvent par ton nom de famille, accompagné d’une tape dans le dos pour te faire croire que t’es l’ami de tout le monde. La plupart des gens que tu croises ne connaissent pas ton prénom, pas besoin, t’es pas là pour faire les présentations. Maverik, t’aurais pu détester le nom que tu portes depuis toujours, il appartient à un père que tu n’as jamais connu et que tu ne retrouveras probablement jamais. prénom Storm, parfois on te crois pas quand tu te présentes, pourtant ça te représentes bien. T’es la tornade qui secoues tout sur son passage, les vents violents qui secouent tout le monde. surnom Ton prénom n’as pas de diminutif, on t’appelles le plus souvent par ton nom de famille, peu importe.  âge 21 ans, ta vie débutes seulement, et pourtant tout tes os craquent à chaque fois que tu bouges un peu trop violemment.  emploi/occupation Officiellement, t’es caissier dans une supérette qui te paie une misère, t’as pas le choix, le proprio t’as choppé en train de voler un paquet de gâteaux, alors en échange tu dois bosser. Finalement tu l’aimes bien ce taff, t’es tranquille, tu piques toujours deux trois trucs avant de rentrer chez toi. T’es presque sûr que ton boss le sait, mais c’est juste un vieux monsieur qui n’est pas contre un peu de compagnie, alors il te laisse faire. Officieusement, tu vends des petites pilules à qui veut bien te payer, ça met du beurre dans les épinards.  statut civil t’es seul, tu papillonnes à droite à gauche, tu tombes pas amoureux, t’as pas le temps pour ça. orientation bisexuel, tu pars du principe qu’on à qu’une vie, et que ça serait con de mourir de bête. Filles, garçons, entre deux ou aucun, c’est pas ça qui t’arrête. vit avec ta mère et ta soeur, dans une maison qui n'inspire pas vraiment confiance. Tu partage ta chambre, ça commence à devenir contraignant, mais t'es plutôt du genre à squatter les canapé des autres pour fuir ton lit. situation financière T’es pas à plaindre. Si tu devais te contenter de ton salaire de caissier, tu serais bien dans la merde, heureusement pour toi que t’as des billets planqués dans ton matelas. Tu vis au dessus de tes moyens, t’es dépensier mais tu t’en sors plutôt bien.  son avis sur la confrérie t’aurais aimé en faire partie, avoir des gens sur qui compter autour de toi. T’es jaloux ouais.  en fait partie non avatar hwang hyunjin groupe vermeer


caractère— éternel petit con - loyal - rancunier - menteur - "j'ai rien fait !" - obstiné - devient accro trop vite - répond jamais au téléphone - tabac froid - chats noirs - draps défaits - lunatique - chemise froissées - briquet cassés - longs soupirs - bougies jamais terminées - os qui craquent - peine lune - aime se prendre des coups - chaussures trouées - virées nocturnes - skate en fin de vie - roses rouges - pages gribouillées - bagues aux doigts - fringues trop grands - sourire en coin - cernes sous les yeux - besoin de dominer - retombe toujours sur ses pattes - aime le danger - insolent - "vas-y, frappe moi !" -

du vrac (tu peux choisir d'enlever certaines questions si elles ne t'intéressent pas, ou les remplacer par autre chose) son dernier mensonge« j’ai pas besoin de toi. » lancé à ta sœur au détour d’une engueulade, tu sais plus trop pourquoi d’ailleurs. T’as menti cette fois là, tu voulais juste lui faire mal avec tes mots.style vestimentaire tu nages souvent dans tes vêtements trop grands, tu te caches sous des couches de tissus pour être à l’aise. T'aimes pas sortir mal habillé, c'est le seul truc que tucontrôle un minimum, alors tu prend toujours soin d'être stylé. le dernier plat raté Un paquet de nouilles que t’as réussi à faire brûler, trop défoncé pour te rendre compte que le pot se met pas sur une plaque de cuisson. T’as failli faire cramer la maison. un secret à garder Tu sais que le voisin viens parfois dans la chambre de ta chère mère pour tirer un coup, pourtant il est marié, tu dis bonjour à sa femme et ses gosses tout les matins. son plus gros regret avoir quitté le lycée dès que t’en a eu l’occasion. T’aurais aimé faire des études, même si t’es persuadé que t’en es pas capable. P’tet que si t’avais fait des efforts, tu t’en sortirais mieux aujourd’hui. son dernier achat Une bague hors de prix que tu voulais absolument. Tu l’as achetée sur un coup de tête, tu te souviendra toujours de la tête du bijoutier quand il t’as vu débarquerton skate sous le bras. sa relation à sa famille t’as que ta sœur, tu considères pas ta mère comme un membre de ta famille.   un défaut agaçant tu veux toujours avoir le dernier mot, ça peut durer des heures.

long short story

« Quelle salope. »

Tu murmures pour toi-même, avant de croiser le regard assassin de ta petite sœur qui partage ta chambre. Tu t’excuses pas, parce que tu le penses depuis toujours. La maison familiale n’a jamais été vide, t’as toujours entendu les portes claquer, les mecs se ruer dans la chambre de ta mère pour faire leurs affaires sans même tenter d’être discrets. T’as dû apprendre à te boucher les oreilles, à faire abstraction des gémissements qui s’échappent de la chambre d’à côté, tu t’es vite inventé ton propre monde, sans réel succès. Les murs sont trop fins, vous entendez tout. T’as vite pris l’habitude de découvrir des nouveaux visages tous les matins, entre ton bol de céréales et ton jus d’orange. Ton quotidien est pathétique, tu déteste ta mère de vous faire vivre ainsi, si encore t’étais seul, t’aurais pris sur toi, mais tu peux pas supporter que ta petite sœur ait la même vie que toi. T’es sûrement trop protecteur envers elle, c’est presque une adulte maintenant, elle est en mesure de prendre soin d’elle toute seule, mais t’as toujours l’impression que c’est ton rôle de veiller sur elle. Vous n’avez pas le même père, tu connais pas le tien d’ailleurs, il s’est barré avant que tu naisses, t’es même pas certain qu’il soit au courant de ton existence. T’as grandi avec une mère absente, trop camée, trop bourrée pour prendre soin de vous, t’as dû grandir d’un coup, et un tas de responsabilités te sont tombées dessus. Et puis ta sœur est arrivée, et t’as su pourquoi tu te battais. Tu fais de ton mieux, depuis toujours, même si c’est pas assez pour vous offrir une vie de rêve. Tu supportes plus d’entendre le lit de ta mère taper contre le mur, ça te dégoute, et tu sens que tu pourrais imploser à tout moment, alors tu quittes cette maison de merde après avoir embrassé le front de ta sœur, et attrapé ta veste et ta banane. T’as besoin de sortir, de prendre l’air, de voir du monde et de rester loin de cet environnement toxique que tu te tapes depuis que t’es né.

Tu sais pas où tu seras ce soir, chez qui tu va squatter, tu prévois jamais parce que tu prends ce qu’on te propose. Tu pianotes sur l’écran cassé de ton téléphone que t’as jamais pris le temps de réparer. On t’envoie des messages, on a besoin de toi à une soirée, alors tu poses pas de questions, et tu fonces. Tu connais les rues de la ville par cœur, t’es né ici, t’as toujours marché sur les mêmes pavés. Tu connais les raccourcis, les petites ruelles que personne n’osent emprunter, tu te faufiles, tu réfléchis même pas à ton trajet parce que tu sais où aller. Tu soupires. Tu sais que t’as pas de vrais amis, toi t’es invité juste parce qu’on veut t’acheter de la came, rien de plus. T’as de la chance, t’as une belle gueule, souvent abimée par les coups que tu peux te prendre au détour d’une soirée qui tourne mal, mais elle t’a sauvée plus d’une fois. Quand t’arrives, la fête à déjà depuis commencée depuis un bout de temps, tu le sais parce que tu dois enjamber quelques corps avachis au sol. Tu t’installes sur le canapé, mais tu ne reste pas longtemps seul, un visage familier te rejoint. Tu réagis pas vraiment, cette fille tu la connais à peine, tu couche juste avec elle quand tu le veux. T’es pas certain de te souvenir de son prénom, mais tant pis, tant que vous passez la nuit ensemble ça te suffit. On vient vers toi, t’es connu comme le loup blanc, tout le monde sait ce que tu trimballes dans ta banane magique. T’annonces tes prix, y’as pas d’amis dans le business, tout le monde est logé à la même enseigne. T’es pas le plus cher, tu mens un peu sur les grammages, personne s’en rendra compte. Tu rigoles avec tout le monde, t’essayes d’être sympa pour fidéliser les clients, t’attrapes les billets qu’on te tend, tu dis à peine merci, t’es pas sûr qu’on t’écoutes, tant pis. Et puis cette fille, accrochée à ton cou, elle te gêne mais tu dis rien, parce que t’as pas envie de la jeter tout de suite, tu pourrais avoir besoin d’elle plus tard, quand t’auras besoin de te défouler. Tu gobes en même temps que tout le monde, et en attendant que ça monte, tu t’occupes de cette meuf. Le reste de la soirée est un peu floue, tu te souviens des baisers échangés, de la musique trop forte, des coups de reins donnés dans une chambre que t’as choisis au hasard.

C’est le matin, il faut que tu rentres, de toute façon on va te foutre à la porte, alors autant que tu te casses avant de te prendre un coup de pied au cul. T’as rempli ta mission, tes poches sont pleines de billets, t’as passé une bonne soirée c’est tout ce que tu voulais. Tu retires le bras qui t’entoure encore, et tu pars sans dire un mot à personne. T’as pas dormi, l’effet du taz s’est pas totalement dissipé, t’as encore les membres engourdis, tes pupilles sont encore dilatées, mais t’es assez lucide pour te rendre compte de ce que tu fais. Tu te sens tout léger, tu sautilles presque dans les rues, t’es pas encore fatigué de ta soirée, en tout cas t’as pas cette impression. Tu passes par la boulangerie avant de rejoindre ton taudis. T’embrasse ta sœur, tu lui propose un pain au chocolat, et il te faut quelques secondes pour te rendre compte qu’elle pleure sur le canapé. Ton sang ne fait qu’un tour, vous n’êtes pas seul, tu l’avais même pas remarqué. Tu le connais ce typé, tu lui dois de l’argent, tu l’avais un peu arnaqué mais tu pensais pas le recroiser un jour, naïf que t’es. T’as pas le temps de faire grand-chose qu’on t’attrape par le col, et qu’on te fout un coup de poing dans le ventre. Ta respiration se coupe un instant, t’as mal, mais tu penses qu’à ta sœur. T’as pas envie qu’elle voit ça, alors tu lui fais signe de monter à l’étage, mais un des gros bras la dissuade de bouger. Putain de merde. Tu vaux pas mieux que ta conne de mère finalement. « prend mon fric si tu veux, mais casse toi. » t’es pas vraiment en mesure de négocier, t’es coincé, tu peux rien faire.

Ce matin-là t’as perdu tout tes bénéfices de la veille, et tu t’en sort avec une arcade ouverte et un bleu à la mâchoire. Ça aurait pu être pire, tu sais que c’est qu’une mise en garde, qu’ils vont revenir maintenant qu’ils ont ton adresse. T’as intérêt à te tenir à carreaux, ne serait-ce que pour ta frangine. Elle désinfecte ta plaie en silence, qu’est ce qu’elle pourrait dire de toute façon ? Aucun argument ne serait assez bon pour que t’arrêtes, et puis pour faire quoi d’autre ? T’as quitté le lycée avant d’obtenir ton diplôme, personne ne voudrait de toi, t’es pas fait pour avoir une grande carrière. « c’est rien, t’inquiètes pas. » tu souris en coin, pour la rassurer, même si tu sait qu’elle est pas bête à ce point. Rien ne va, tu peine à payer le loyer, on peut vous foutre dehors à tout instants, mais tu fais ce que tu peux. Tu sais pas où tu va finir, t’as fait beaucoup de conneries avant de comprendre que ça te mènerais nulle part. Tu dois de l’argent à pas mal de monde, tu rends quand tu peux, mais certains sont plus impatient que d’autres, et t’en fait les frais.

Ca ira mieux demain. Enfin t’espères.  


happy hours
pseudo gab type de personnage inventé as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? aller go plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile ça dépend

je souhaite réserver :

Code:

[i]hwang hyunjin (02/01)[/i]