from dusk till dawn

nom Lindeman, c'est pas ton nom de naissance mais c'est tout comme. T'es né sous X, t'avais même pas de prénom quand tes parents ont décidé de t'adopter. T'as toujours été qu'un Lindeman et pourtant, tu ressens ce manque au fond de toi, la nostalgie d'un passé qui ne t'appartient pas, le manque de cette famille que tu n'as jamais connu et qui ne voudra jamais de toi. prénom Soren, c'est court, c'est mignon et ça se passe de tout surnom. Aux yeux du monde, c'est juste un prénom comme un autre, mais pour toi, ça signifie que quelqu'un t'a aimé assez fort pour te donner une identité. Toi qui n'avait rien à la naissance. surnom Aucun, tes potes t'appellent par la première vacherie qui leur passe par la tête, les filles te donnent des surnoms stupides qui les font glousser, ta mère t'afflige des pires noms d'animaux et ton père t'appelles « fils » ou « fiston ». Parfois, t'as envie de dire aux gens que t'as un prénom, qu'il fonctionne très bien et qu'il n'est pas cassé, mais à quoi bon ? âge 21 ans depuis le 1er janvier, t'étais le cadeau qu'on n'attendait pas, l'un des premiers bébés de l'an 2000, merci la pression. emploi/occupation Etudiant en économie, t'es le gamin parfait qu'a toujours rapporté des bulletins exemplaires aux parents. T'es pas le plus intelligent mais tu t'investis toujours à fond dans ce que tu entreprends, même dans ces études qui ne te plaisent qu'à moitié. T'as voulu faire plaisir à papa en suivant sa voie mais parfois, tu comprends même pas la moitié de ce que dit le prof. Tu pourrais baisser les bras, mais tu détestes ne pas comprendre, alors tu te donnes encore plus pour garder le niveau. statut civil Célibataire plus par envie que par défaut, t'es pas franchement le genre de mecs qui se lancent dans des relations longues durées ennuyantes et compliquées. T'es un type simple qui aime sa petite liberté, t'as beau avoir une gueule d'ange, t'es un vrai démon dans le fond, et au final, ton excuse de « je fais ça pour elles », elle est pas totalement fausse. orientation Tu cries sur tous les toits que t'es hétéro, de toute manière, on te voit souvent rentré avec des filles quand tu quittes les soirées alors personne ne se pose de questions. Et pourtant, dans le fond, tu sais bien que t'es pas totalement honnête avec toi-même. T'as beau te dire que c'est arrivé de rares fois, tu ne peux pas nier que c'étaient les meilleures fois et ça, ça te fout vraiment les boules. Tu te voiles la face en refusant de t'avouer que t'es peut-être plus bisexuel qu'autre chose. vit avec Les parents aimants et dévoués qui te traitent comme le petit prince qu'ils ont toujours rêvé d'avoir. T'es « un cadeau tombé du ciel » d'après eux, la perle rare, le miracle. Toi, t'es pas sûr de venir des cieux, tu viens plutôt d'en bas à ton avis, mais c'est pas le sujet. situation financière Papa se fait pas mal de thunes, maman n'est pas en rade non plus et le mieux, c'est qu'ils te donnent tout ce que tu désires. Petit gosse de riches avec ton porte-monnaie personnel à la maison, tu ne manques de rien. T'en profites pas des masses pour être honnête, mais tu sais que si jamais t'as besoin, t'as deux banquiers à la maison. son avis sur la confrérie En vrai, t'as pas vraiment d'avis là-dessus. Est-ce que t'aurais aimé en faire partie ? Peut-être bien, mais peut-être pas. Faire la pluie et le beau temps, avoir le monde entre les mains, c'est pas un peu trop de pression ça ? T'es bien dans ta petite vie, mais parfois, quand t'es tout seul, tu te dis qu'avoir des gens sur qui compter, ça pourrait être pas mal. en fait partie Non. avatar Lee Yong-bok (Lee Felix). groupe Van Gogh.


caractère— arrogant -- fêtard -- impulsif -- malin -- menteur -- colérique -- manipulateur -- dragueur -- fier -- je m'enfoutiste -- nonchalant -- observateur -- sportif -- fumeur compulsif -- direct -- sociable -- loyal -- déterminé -- courageux -- obstiné -- borné -- spontané -- possessif -- sarcastique -- irréfléchi -- méfiant
visage d'ange, sourire charmeur pour une âme démoniaque, t'as tout du fils parfait mais tu joues un rôle : étudiant modèle le jour, t'es sociable, souriant et appliqué dans tes cours / vampire, dès que la nuit tombe, tu révèles ton vrai visage : alcool, drogues, fêtes, sexe, combats, violence, mensonges.
veste en cuir - cigarettes - musique à fond dans les oreilles - dessins - bcbg - langue qui claque contre la palais - danse - boîtes/bars - regards inquisiteurs - jean troués - batterie - lèvres ouvertes, arcades violettes, joues bleutées - adrénaline - ne se pose pas de questions - oiseau de nuit - veiller tard - se lever tôt - coffee addict - nicotine - cocktails - poings ensanglantés - poker face - adoption - insolence - provocation

du vrac son dernier mensonge « Mais non maman, personne ne m’a frappé, j’ai glissé sur une feuille mouillée et je suis tombé », des comme ça, t'en as des centaines. Après toutes les excuses possibles et inimaginables que tu lui as sorti, t'es étonné qu'elle continue encore à te croire. La vérité, c'est que tu passes tes nuits à te battre parfois, parce que ça fait du bien, parce que t'as besoin d'extérioriser, parce que t'es cassé au fond de toi. Mais ta mère, elle croit tout ce que tu lui dis, elle cherche pas plus loin. style vestimentaire Ta veste en cuir que tu lâches jamais, tes jeans trouées aux genoux, tes pantalons sombres, tes t-shirts unis. T'as un style chic et simple, on sait d'où tu viens sans que tu aies besoin d'en faire des caisses. La nuit, t'essayes de passer un peu plus passe-partout, mais t'as un certain style et t'as beau faire tout ce que tu veux pour le cacher, on peut facilement te deviner en s'attardant sur toi. le dernier plat raté Des pâtes, c'est simple et un peu cliché. T'as mis l'eau à bouillir, t'as ajouté tes pâtes, une fille est passée, tu l'as baisée sur le canapé, t'as oublié que les pâtes étaient sur le feu et voilà. L'eau a fini par s'évaporer, les pâtes sont restées collé au fond de la casserole que t'as jeté sans état d'âme. Ça sentait le cramé mais maman s'est démenée pour te cuisiner un bon petit plat dès son retour, un ange ta mère. un secret à garder Les mecs chez qui « tu dors » de temps à autres, tu prétextes avoir trop bu et être resté chez un ami parce que c'est plus safe. T'es pourtant pas le genre de type à se poser mille questions, mais quand tu repenses au fait que tu prennes vachement plus ton pied avec eux, ça te fout la pression, alors tu picoles et tu recommences. Putain de cercle vicieux. son plus gros regret Ta famille biologique que t'as jamais connu. Tu sais que c'est pas à toi d'avoir des regrets, que t'étais qu'un bébé d'une heure qui a lâchement été abandonné. T'es conscient que c'est pas de ta faute, et pourtant, tu te trimballes tous ces regrets à longueur de journée, ce sentiment d'abandon qui te lâche pas, cette peur que les choses se répètent inlassablement. son dernier achat Une canette de coca au distributeur de la fac, c'est pas ouf mais t'as pas mieux en stock. Avant ça, t'avais acheté un paquet de chips. Ta vie tourne beaucoup autour de la bouffe et des snacks que tu t'autorises avant d'aller courir comme un dératé pendant une heure pour éliminer. T'es pas logique, t'es une putain de contradiction sur pattes. sa relation à sa famille Tes parents, tu les aimes. Ils t'ont probablement sauvé la vie parce que qui sait sur quelle genre de famille tordue tu aurais pu tomber. Ta mère, c'est une reine, elle mérite le monde pour la patience et l'amour dont elle fait preuve avec toi. Ton père, c'est un exemple de gentillesse et de compassion. Et pourtant, tu continues à leur mentir et à faire n'importe quoi. Tu les protèges du mieux que tu peux en espérant que les merdes dans lesquelles tu t'embarques ne finissent pas par leur péter à la gueule. T'aimerais être le fils modèle qu'ils imaginent que tu es vraiment, mais c'est pas le cas. Tant pis. un défaut agaçant Ta poker face qui rend fou, ce don que tu as pour dissimuler ce que tu ressens. On peut te balancer les pires merdes, tu resteras toujours stoïque si tu le souhaites, et même quand ton poing partira se briser contre une mâchoire, on ne verra rien venir jusqu'à l'impact. Ça agace la plupart du temps, on t'accuse de jouer les types mystérieux ou insensibles, mais toi, ça t'amuse plus qu'autre chose de les voir ramer sur le sable.

long short story
Pantalon noir parfaitement ajusté, chemise blanche fraîchement repassée, t’as vraiment l’air d’un type irréprochable là. Ta veste en cuir dont tu ne te sépares jamais et qui te donne, d’après ta mère, « un air de mauvais garçon ». T’aurais volontiers accepté le compliment si elle n’avait pas ajouté « mais comme t’es mignon, ça va » derrière. Un peu plus et elle passait sa main dans tes cheveux colorés pour remettre en place tes mèches rebelles. De toute manière, pour ce soir, t’as pas le choix de passer pour un « gentil garçon ». T’es encore à l’une des réceptions stupides du boulot de ton père, mais t’es prêt à faire l’effort pour lui, après tout ce qu’il a fait pour toi. Il t’a recueilli, logé, nourri, aimé, alors même que ta propre mère ne voulait plus de toi. Parce que c’est pas difficile de s’en rendre compte quand on vous regarde tous les trois, les grands yeux bleus de ta mère, les cheveux blonds de ton père, leur faciès et toi, avec tes traits asiatiques et tes yeux sombres. Faut pas être un génie pour comprendre que dans l’équation, l’inconnu, c’est toi. T’as l’habitude maintenant, t’y fais même plus attention depuis le temps. Mais tu leur es infiniment redevable et pour ça, t’es prêt à te taper toutes les soirées barbantes auxquelles ils veulent t’emmener.

Ta coupe de champagne à la main, t’es adossé contre le mur du fond juste à côté du buffet, ton endroit favori. T’observes les convives avec ce regard énigmatique qui te définit. Les femmes te sourient et s’empourprent quand tu leurs adresses un regard brûlant, les hommes ont une moue d’admiration pour cet enfant adopté qui a si bien tourné, cliché de merde. C’est l’ennui qui prédomine, mais tu sais que ce n’est qu’un mauvais moment à passer, que dans quelques heures ils te laisseront partir sans poser de questions et que tu pourras retourner vivre ta petite vie au milieu de jeunes bourrés ou défoncés. Ou peut-être pas. Elle est là. Elle est toujours là. Parce que c’est la fille du patron de ton père, alors forcément. Vos parents vous trouvent mignons ensembles, vous vous serrez les coudes, deux jeunes dans ce genre d’endroits, ça créer des liens d’après eux. Ils n’ont aucune idée du genre de lien que vous avez créé, et c’est peut-être mieux comme ça. « T’as pas répondu à mes messages » qu’elle t’agresse presque en portant sa coupe à ses lèvres. « Désolé, je dormais » que tu réponds en haussant les épaules. « Depuis deux semaines ? », tu fais mine de réfléchir et lui souris de toutes tes dents, un sourire faux et provocateur, « Ouais. ». Comme toujours, elle envoie valser ses longs cheveux blonds par-dessus son épaule et lève les yeux au ciel. « Tu devrais pas faire ça » que tu la préviens. « Pourquoi ? ». Nouveau haussement d’épaules comme si tu t’apprêtais à lui donner l’heure « t’as l’air d’une garce comme ça, et tu sais ce que je leur fais aux garces. » Ses dents qui viennent s’enfoncer dans sa lèvre peinte en rose. « Arrêtes Soren, pas ici. » Le dominateur qui reprend le dessus, c’est plus fort que toi. Tu la détailles de haut en bas, prenant soin de laisser traîner tes yeux. « Si, ici. Et maintenant. » Et puis tu descends ta boisson en une gorgée et quittes la pièce sans un mot. T’entends sa coupe qu’elle dépose délicatement sur la table et tu sais que vous vous apprêtez à « créer des liens » comme dirait ta mère.

Dans la voiture, papa est satisfait et maman ne cesse de te lancer des regards curieux. « Ça s’est bien passé mon lapin ? ». La grimace de dégoût que t’es incapable de retenir à l’évocation de ton surnom depuis tes cinq ans, tu te contentes de hocher la tête. « Vous êtes partis vous balader un moment avec Anja », c’est pas une question mais tu réponds quand même. « Oui, on a décidé de faire plus ample connaissance, fin d’apprendre à vraiment se connaître, plus en profondeur quoi. » Ta mère qui te croit encore innocent et qui hoche la tête à son tour. « C’est bien que vous tentiez de devenir amis. » Tu pinces les lèvres pour ne pas rire. « Oui, elle est bonne. C’est une bonne personne, j’entends. ». Et tu t’interroges pour savoir sur quelle genre de planète sont nés tes parents pour ne se rendre compte de rien. Font-ils semblants ou sont-ils vraiment si biaisés par l’image qu’ils ont de toi ? « Déposez-moi là s’il vous plaît. ». Ton père fronce les sourcils et inspecte les environs. « Devant ce bar ? » et toi, parfait petit acteur, tu lèves les yeux au ciel comme si c’était évident. « Mais non, j’ai un copain qui habite plus haut dans la rue. » Et ils tombent tous les deux dans le panneau, encore. « On t’aime mon poussin », « oui maman, moi aussi ». Elle va jusqu’à sortir sa main par la fenêtre pour te saluer jusqu’à ce que la voiture disparaisse de ton champs de vision.

Quelques heures plus tard, t’as plus rien du « petit lapin » de ta mère. T’as les pupilles dilatées, le sang chaud et les phalanges rougies par la bagarre. D’ailleurs, ton poing s’écrase une nouvelle fois contre la mâchoire de ce type que tu ne connais ni d’Eve ni d’Adam et ça te fait un bien fou. « T’y réfléchiras à deux fois avant de m’insulter la prochaine fois, enculé. », tu lui en remets un dernier pour la route et te relèves alors qu’il gît au sol. Ton pote qui te tire par le bras alors que tu marches plus droit. « Soren, on se barre, ses potes vont rappliquer. » Le haussement d’épaules nonchalant totalement inadapté alors que t’es sur le point de te faire refaire le portrait. « Déconnes pas abruti, je sais que t’aimes la baston mais là c’est trop, tu sais qui tu viens de frapper d’ailleurs ? » « un connard ? » que tu demandes en levant les yeux vers lui. « Oh putain, mais qu’est-ce qu’on va faire de toi sérieux ? » Et c’est presque s’il ne t’arrache pas la main en te tirant dehors. « Tu dors chez moi ce soir, si ta mère te voit comme ça, t’es mort. » La brise te fait du bien, tes idées s’éclaircissent quelques peu mais t’as encore trop de substances dans le sang pour te montrer réfléchi. « Dormir chez toi ? » « ouais chez moi, ça te pose un problème ? » tu hausses les épaules en souriant « peut-être. » Il passe un bras autour de tes épaules et se met à rire, comme si tu venais de lâcher la blague la plus drôle du siècle. « Pourquoi tu ris ? » « parce que t’es défoncé. », tu comprends toujours pas. « Et alors ? C’est quoi la blague ? », ton pote se pince les lèvres pour ne pas céder à l’hilarité. « Ce qui est drôle, c’est que quand t’es dans cet état, tu finis jamais ta nuit sur mon canapé. » « eh merde. ». Foutu pour foutu de toute manière, tu le suis docilement avec un mélange d’excitation et d’appréhension. Tu te dégoûteras demain, pour le moment, t’es trop déchiré pour te faire des reproches et penser clairement. Il avait pas tort, t’as même pas atteint sa porte d’entre que les boutons de ta chemise ont déjà sauté. Qu’est-ce que tu te disais le matin-même déjà ? Je suis pas pédé ? Eh bah c’est raté, mon pauvre...

happy hours
pseudo cora. type de personnage inventé. as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? pourquoi pas? plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile ça dépend des moments.

je souhaite réserver :

Code:

[i]lee felix (03/01)[/i]