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 as the summer fades away, nothing gold can stay.

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Aart Elzevir
Aart Elzevir
personally I feel romeo and juliet could have handled the situation better
Date d'inscription : 03/11/2020
occupation : étudiant en dernière année, cursus finance.
originaire de : leiden.
Messages : 125
points : 204
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MessageSujet: as the summer fades away, nothing gold can stay.    as the summer fades away, nothing gold can stay.  EmptyVen 6 Nov - 16:35


sweet melody
cause you're so fucking special
and I don't wanna let go
cause now I think I'm lookin' at you
like it's the very first time
nom peu connaisse aujourd’hui l’influence de la famille, elzevir. un autre temps, une autre époque. un nom qui a davantage sa place dans les livres d’histoire que dans la bouche des plus grands. avant-gardiste pour leur époque, ils ont fait fortune dans l’imprimerie et ont participé à la grandeur de leiden. plus de trône en or, plus d’admirateurs à l’appel, plus de pouvoir entre les mains. ça s’effondre, ça prend poussière, ça bascule vite dans la catégorie occasion. une ancienne fortune oubliée qui peine à retrouver sa grandeur d’antan. prénom quelques lettres qui roulent sur la langue. aart, derrière cette simplicité se cache la volonté de faire perdurer la lignée. prénom ancien, celui de l’arrière-grand-père, choisi dans l’espoir de faire briller de nouveau l’héritage familial. quand il sonne autoritaire et aristocratique dans la bouche de ta mère, il est doux et brûlant entre ses lèvres à elle. surnom pas de surnom, prénom déjà trop court. parfois, il t'arrive d’être appelé par tes potes par ton nom de famille. âge ça t'angoisse de vieillir, trop de choses sur tes épaules, pas assez de temps pour atteindre le sommet dont tes parents rêvent. vingt-trois ans, t'y crois pas au miracle mais à chaque bougie ajoutée, t'espères que ta soeur revienne endosser son rôle d'ainée, qu'elle reprenne sa place. emploi/occupation étudiant modèle, t'excelles dans tes cours avec une facilité déconcertante. certains crient à la triche, d’autres te voient juste bosser comme un malade à la bibliothèque. tu rêves de grandeur, aart, celle dont on t'a parlé depuis tout petit, celle qui a permis à tes ancêtres de se faire un nom pendant l’âge d’or du pays. mais ça s’effrite. sous tes yeux impuissants de jeune étudiant sans diplôme. en dernière année, tu suis des cours de finance, l’appât du gain c’est ce qui t'a poussé à la fac. la finance, les chiffres, le business, c’est ça qui te plait. statut civil aart, c’est parfois les cheveux décoiffés, la chemise qui dépasse, les disparitions entre deux cours, les absences en soirée. t'as une copine mais personne ne sait qui. secret bien gardé, mystère que t'aimes entretenir même si ça te bouffe parfois de ne pas pouvoir l’embrasser quand t'en as envie. frustré de devoir taire tes sentiments parce qu’elle ne représente pas la belle fille idéale pour tes parents. la jalousie de loin, possessivité jusqu’aux phalanges et regard assassin pour ceux qui osent l’approcher. mais cette fille, tu l'as dans la peau. au point d’être incohérent et stupide dans tes reproches. . orientation t'es hétérosexuel. le sourire facilement levé, t'es un de ces mecs qui aiment plaire. question d'ego ou juste d'insécurité fragile. vit avec la poussière sur les meubles en noyer, sur ce nom de famille vieillissant, sur ces valeurs bien trop vintage pour être pertinentes. tout est dans la richesse matérielle, la maison, la grande bibliothèque, la chevalière, l’écusson familial et le pull en cachemire sur les épaules. les manières perdurent, le paraitre est roi et ta mère s'obstine à s'accrocher à son collier de perles. la soeur ainée, partie sur un autre continent avec son mioche, tu te retrouves seul face aux lubies de millionnaires de tes parents. insupportable, compliqué, étouffant. situation financière plus aussi riche qu'avant. pas prêts d'accepter que les belles années de la famille elzévir sont passées, tes parents excellent au jeu du paraitre, du matériel et des apparences. vivre au dessus de leurs moyens quand l'héritage fond. les objets de valeur perdurent mais les comptes en banque sont moins alimentés. n'est pas rentier qui veut. son avis sur la confrérie t'y vois un réseau, des grands noms qui te seront utiles pour plus tard. t'es ambitieux, aart. on t'a martelé depuis tout petit que tu devais réussir, rendre fier ta mère hystérique et ton père intransigeant. frustration du paternel qui n'a pas eu la possibilité de l'intégrer, tu te retrouves avec cette carte dans les mains et cette pression sur les épaules. encore, toujours, sans cesse. en fait partie oui avatar arthur gosse. groupe van gogh.


caractère— fier ;; buté ;; jaloux ;; possessif ;; intelligent ;; ambitieux ;; impulsif ;; colérique ;; leader ;; dragueur ;; indépendant ;;

du vrac son dernier mensonge oui, mère, j'ai invité la fille d'an et dolf au restaurant ce weekend. oui, elle est très mignonne. oui, ça pourrait être le genre de fille qui me plairait.. style vestimentaire les pulls en cachemire sur les épaules, les blazers à outrance, les mocassins aux pieds, les écharpes nouées autour du cou. t'as tout de l'aristo, aart, hormis le compte en banque. le dernier plat raté gros fail du panier de pique-nique embarqué cet été à la plage. trop salé, immangeable, tu lui as offert un burger pour te rattraper. un secret à garder des nuits entières, à s'aimer, à se déchirer, à se manquer. son plus gros regret que ta soeur n'ait pas découvert l'existence des préservatifs, ça aurait été utile, ça t'aurait évité toute cette pression sur les épaules. t'étais le cadet indiscipliné à la base. t'as pas demandé tout ça. son dernier achat choix minutieux, réfléchi et sentimental, t'as sorti le grand jeu. un an, un an avec elle. et elle méritait le plus beau et le plus cher. un bracelet en or blanc avec des petits diamants. pas vraiment discret, c'était le but, que tu puisses l'admirer à son poignet même sans pouvoir l'embrasser. possessivité assouvie. sa relation à sa famille froide, hochements de tête, soupirs, portes qui claquent, faux sourires, faux semblant. rien de grandiose derrière la grande porte. un défaut agaçant les sourcils levés, les bras croisés, le j'attends froid et brutal. le refus de t'excuser quand t'estimes avoir raison (très souvent).

long short story
un effleurement, à peine. ta main sur le bas de son dos, discret, à peine visible. ça pourrait presque passer pour une maladresse, un geste involontaire dans cette foule trop nombreuse, classant comme impossible toute tentative pour s'écarter poliment de chaque corps. mais la proximité est voulue, elle est même attendue. tout est calculé. le rond de ta chevalière planté contre ses reins, le souffle tourné vers son oreille, le bout des doigts qui glissent sur le tissu de sa robe paresseusement. et il suffit d’une seconde. une seule pour que vos têtes se tournent au même moment. c’est millimétré. un enchainement que vous connaissez par coeur, une danse perfectionnée à force d’entraînements. une simple seconde pour que vos regards se croisent. les bruits aux alentours se fondent dans une masse que t’ignores royalement. rien à faire qu’on te parle de l’héritier royal, t’es au courant de rien. et c’est court une seconde pourtant t’as le temps de lever un sourcil, la mettre au défi de continuer son entêtement et de glisser un smirk discret. le temps s’étire, la paume de ta main brûle alors qu’elle caresse sa hanche. puis tout repart, la cohue, le bruit, la conversation avec cet homme plus âgé et inquiet des gros titres. distance imposée. els, dans ton dos, silencieuse. ça démange l'ego d'aller la voir et la confronter, là maintenant. parce-que t'as pas digéré votre dernière engueulade. encore une. une els, braquée et têtue, incapable de te donner ce que tu voulais entendre. alors t'as claqué la porte. colère bouillonnante jusqu'aux phalanges, le mur du couloir a failli finir décoré. frustré de ne pas avoir parlé, frustré que ce ne soit pas réglé, frustré de la voir aussi belle. ça n'arrange rien à ta jalousie. ça picote sous l'épiderme, ça bloque la mâchoire, ça déconcentre. et le pire, c'est que tu sais que t'es pas en tort. pas cette fois. sa main sur l'avant bras de l'autre con, tu ne l'as pas imaginé. sous tes yeux, à la cafétéria, semaine dernière. t’as eu l’instinct de te détacher du mur, décoller ton pied et t'étais prêt à faire un pas vers elle. ça criait mine dans la cage thoracique. une heure après, tu l'attendais dans sa chambre, la bouche déjà ouverte à crier alors que la porte n'était pas encore fermée. et depuis, c'est froid. jeux de regards, les egos s'effritent. pas d'excuse d'un côté comme de l'autre. et t'y comprends rien aux échecs, mais t'es persuadé que si t'avais été un pion, elle saurait quoi faire de toi pour gagner la partie. t'essayes juste d'attirer son attention, ne pas être un visage perdu dans la foule, lui rappeler que t'es là, à votre façon. une caresse, un toucher délicat, un regard. c'est tout ce que vous avez aux soirées de la confrérie. partout, en fait. le silence, tu le gères mal. encore moins quand tu sais pas ce qu'elle pense. mauvaise idée de rester là. tu ne supporteras pas la guerre froide encore longtemps. verre posé brusquement sur un plateau qui passe au niveau de ta tête, un hochement de tête vers les hommes qui conversaient à tes côtés et tu prends la fuite. qu'elle joue seule à l'indifférence, toi t'es davantage colérique. (...) le genou s'agite plus rapidement que la respiration. les yeux plantés sur tes exercices de compta, t'as appris à ne plus te préoccuper des allées et venues dans la bibliothèque. pas foutu de te concentrer, t'as mal dormi. seul. il est là le problème. pas d'els dans tes bras, pas de cheveux blonds dans la bouche, pas de pieds froids contre les tiens. le stylo tapote contre le bois de la table. plusieurs chuchotent, sans doute pour t'engueuler de cette discrétion bancale. mais le salut arrive, la chaise à côté est poussée, le corps fin s'installe. pas besoin de tourner la tête, tu reconnais son odeur. ta respiration se suspend jusqu'à sentir ses doigts sur ta cuisse. et ça chamboule tout. la colère, la jalousie, l'impatience. cette familiarité t'apaise. parce-qu'elle est toujours là, parce-qu'elle est venue. comme chaque mois. les yeux brillent mais le sourire ne s'étire pas. quelques mots griffonnés sur le haut de ta feuille que tu pousses dans sa direction. trois minutes. c'est le temps qu'il te faut pour te relever et t'aventurer dans les allées de bouquin. le stylo derrière l'oreille, les yeux vagabondent sur les reliures sans aucune conviction. que du paraitre, rien d'autre. corps lâché contre le mur, aucun regard, tranquillité absolue. et quand elle arrive, tu sens dans son regard qu'elle en a des choses à dire. probablement des insultes, des reproches ou les deux mélangés. l'index posé sur sa bouche dès qu'elle est assez proche, l'autre main dans le creux de ses hanches pour la pousser vers toi. un baiser, juste un baiser. tes lèvres viennent s'écraser contre les siennes et bordel, elle t'a manqué.


happy hours
pseudo pomponette. type de personnage inventé. as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? j’ai déjà un date. plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile ça dépend du boulot…


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Els Niemand
Els Niemand
Anger is a potent spice.
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MessageSujet: Re: as the summer fades away, nothing gold can stay.    as the summer fades away, nothing gold can stay.  EmptyVen 6 Nov - 17:36

un date.
avec qui ?
où ?
comment ?
JE LA CONNAIS ?
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Maaike Keere
Maaike Keere
Date d'inscription : 06/11/2020
occupation : master d'économie et de psychologie du client
originaire de : paris, leiden
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MessageSujet: Re: as the summer fades away, nothing gold can stay.    as the summer fades away, nothing gold can stay.  EmptyVen 6 Nov - 21:26

non mais ce duo, wow vous donnez chaud là cant
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Aart Elzevir
Aart Elzevir
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MessageSujet: Re: as the summer fades away, nothing gold can stay.    as the summer fades away, nothing gold can stay.  EmptySam 7 Nov - 10:51

@Els Niemand une jolie blonde siffle
inlove inlove

@Maaike Keere c’est que le début stachemou
heart
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MessageSujet: Re: as the summer fades away, nothing gold can stay.    as the summer fades away, nothing gold can stay.  Empty

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