nom van der leeuw. reste d'une ancienne noblesse qui respire la poussière et le renfermé, mais on en est fier, dans la famille, de ce nom presque régal.
prénom valentijn, maman et ses élans de romantismes à lui en donner la nausée, mais bon, si ça lui fait plaisir.
surnom jerk, asshole et autres petites douceurs qui lui arrache ce petit sourire en coin à en rendre folle
(de rage) plus d'une. sinon, ses potes l'appellent
val, plus simple, plus classique, plus efficace.
âge vingt-deux ans et toutes ses dents. pour l'instant.
emploi/occupation étudiant, en quoi, ça a bien peu d'importance. l'avenir est déjà tout tracé par papa, alors, les études, ce n'est jamais qu'une mauvaise passe à passer.
statut civil célibataire, la simple notion de couple lui donne des frissons de dégoût.
orientation femmes, je vous aime.
vit avec la
famille. le père, la mère, la frangine. celui qui décide de tout pour tout le monde, celle qui laisse faire, entretient gentiment la maison en jouant les plantes vertes à la perfection. celle qui lui tape sur les nerfs, souvent, mais qui reste intouchable. le premier qui s'approchera d'elle le fera à ses risques et périls.
situation financière confortable, reste de l'héritage de la lignée, on n'a jamais eu de difficultés chez les van der leeuw.
son avis sur la confrérie la confrérie, c'est sa deuxième famille, ses potes, sa vie. toujours premier présent quand il s'agit de faire la fête, l'assurance se fissure pourtant, suite aux derniers événements. ceci-dit, il restera prêt à tout pour défendre leur statut.
en fait partie oui
avatar maxence danet-fauvel.
groupe vermeer.
caractère— l’arrogance du lion - crinière indomptée - tiré à quatre épingles - le nom porté fièrement comme un blason - l’amitié
extrêmement rare mais sincère - le goût du jeu - envie de pousser les limites aux extrêmes - la manipulation facile - roi de son monde - coeur flamboyant enfermé dans une boîte en acier trempé -
een klein beetje dikkenek - pas touche à la frangine - pari qu’il n’arrive pas à lâcher - la mort du meilleur ami encore trop fraîche - fini fissure pas encore tout à fait colmaté - instants de faiblesses qui lui échappent - sourde colère qui gronde doucement - dualité de l’âme - monsieur je sais tout - légèrement agaçant sur les bords - l’allure du félin - prêt à tomber sur sa proie
du vrac son dernier mensonge il y en a beaucoup trop pour qu'il puisse s'en souvenir. sûrement une excuse bidon pour éviter un repas de famille, pour rejoindre une soirée, un compliment pour séduire une potiche... la liste est longue.
style vestimentaire travaillé. toujours apprêté, tout est calculé au millimètre prêt. que ce soit pour aller en cours, au bar du coin, ou en soirée, chaque détail est soigneusement pensé pour éblouir et retenir le regard.
le dernier plat raté pour ça il faudrait déjà qu'il daigne mettre les pieds dans la cuisine. sauf que ça, ça ne risque pas d'arriver. cuisiner, c'est bon pour le personnel.
un secret à garder un pari fait avec son défunt meilleur ami. l'autre n'est peut-être plus là pour jouer le jeu, mais val s'est arroger le droit de garder cette petite distraction qui a le mérite de lui faire oublier la psychose ambiante.
son plus gros regret vous avez vraiment cru que ce genre d'information deviendrait de notoriété public ? vous l'entendez, ce petite rire dégoulinant de mépris ?
son dernier achat un bijou pour l'anniversaire de sa mère.
sa relation à sa famille en un mot ? compliqué. le père a parole d'évangile, gare à celui qui ira le contredire. val a bien apprit sa leçon, se contente d'hocher gentiment la tête et de garder ses pensées pour lui, faisant ses coups dans le dos de son père en toute discrétion. tant que la façade est là, tout va bien. il aime sa mère autant qu'il la déteste, admire sa douceur, sa patience, tout en ne supportant pas sa passivité, sa façon de s'écraser sans rien dire face aux affronts du père, ce qu'il considère comme un manque d'estime d'elle-même qui réveille une rage sourde en lui. et puis il y a sa soeur. d'un an sa cadette. ils s'aiment autant qu'ils se déchirent. fusionnels par moment, incapable de rester dans la même pièce d'autres fois, elle reste sa soeur, et s'il désapprouve souvent ses décisions, elle n'en restera pas moins celle qu'il protégera par tous les moyens.
un défaut agaçant si seulement il n'y en avait qu'un...
long short story« disparais. hors de ma vue. je ne veux plus voir ta face d’ingrat jusqu’à nouvel ordre. compris ? » les mains serrées derrière le dos, dos qui reste droit alors que le crâne se baisse, regard qui fixe la pointe vernis des souliers noires, avant de couler l’espace d’une seconde vers la mère, à la recherche d’un signe, un geste, n’importe quoi qui témoignerait d’une forme de soutien quelconque. mais rien. les yeux de la mère se font fuyants, elle l’abandonne aux foudres du père, une fois de plus. ça ne devrait même pas l’étonner. au moins sa soeur n’est pas là, seule consolation sur le moment. la mort du prince qui vient marquer la confrérie d’une trace carmin indélébile. qui laisse un trou béant dans la poitrine. meilleur ami disparu, celui qu’il considère —
considérait — comme son frère, le seul à comprendre, à savoir. douleur sourde qu’il enterre dans les tréfonds de son âme. un van der leeuw, ça ne ressent rien. ça ne laisse rien transparaître. ça reste de marbre face aux difficultés. ça ne bouge pas quand la gifle vient s’écraser sur la joue. seul les yeux se plissent l’espace d’un millième de seconde, l’intérieur des joues mordu pour faire passer l’humiliation.
« oui, père. » regard qui reste fixé au sol alors que les pas du patriarche s’éloigne, porte qui claque marquant la fin de l’acte. la mère semble enfin sortir de son rôle de docilité affectée, retrouve l’usage de ses membres pour s’approcher de son fils, resté immobile au milieu de la pièce. main fébrile qui vient relever le visage pour plonger son regard inquiet dans celui du jeune homme. mais le mal est fait. valentijn repousse la main aimante sans le moindre ménagement, prunelles assassines pour répondre à la douceur qui arrive trop tard.
« toujours la pour recoller les morceaux, mais jamais pour éviter la casse, hein ? vous me dégoutez. » les talons qui tournent alors qu’il laisse là une mère aux yeux rougis, mère sur qui il ne peut s’empêcher de reconduire sa rage, à défaut de pouvoir répondre au père tout puissant. plus les années passent, moins il a de respect pour celle passée maîtresse dans l’art de se rendre invisible. porte qui claque à son tour —
tel père, tel fils — alors qu’il s’enferme dans sa chambre. corps épuisé qui s’adosse à la porte, comme incapable de faire un pas de plus sans s’écrouler. les mains passent sur le visage, viennent se perdre dans les cheveux alors que les neurones refusent de se connecter, refusent de reconnaître, d’accepter qu’il est mort, pour de bon. comment ça a pu arriver, ça le dépasse. pourquoi il n’était pas avec lui à ce moment-là, ça le dépasse. il se laisse glisser contre la porte jusqu’à atteindre le sol, ferme les yeux en lâchant un soupir. la main glisse dans la poche arrière, à la recherche du portable. le doigt glisse sur l’écran, fait défiler les contacts, s’attarde au-dessus de son nom, un instant, hésite. question qui ne se serait pas posée quelques années plus tôt, avant que tout ne chavire et que leur relation ne parte en fumée. la mâchoire se sert alors que le doigt reprend sa course, l’achève sur un autre nom devenu familier ces derniers temps. distraction qui aura le mérite d’honorer la mémoire du défunt, non ?
« Ainley, tu vas bien ? »happy hourspseudo bambi.
type de personnage a jerk. ah pardon, inventé.
as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? alleeeez, faites moi rêver
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile tmtc.
je souhaite réserver : - Code:
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[i]maxence danet-fauvel (06/11)[/i]