nom van der leeuw. la noblesse qui sonne comme un sentiment de fierté. l'appartenance à un clan plus qu'à une famille. c'est vieux, van der leeuw. c'est poussiéreux. pourtant, ça reste ancré. on se retourne encore en l'entendant.
prénom rosa. elle remercierait presque sa mère de ne pas avoir avoir eu d'élan d'excentricité. c'est beau rosa. c'est doux. prénom hérité d'une tante ou grande tante.
surnom crevette, le surnom préféré de son frère. c'est mignon, sans plus. c'est limite agaçant quand il l'appelle comme ça, mais c'est toujours plus agréable que la chieuse.
âge vingt et un ans au compteur.
emploi/occupation des études de médecine. c'est pas ce qui lui plait le plus. mais cela fait plaisir aux parents. elle a pas osé dire non, rosa. alors elle est partie en médecine sans trop sourciller, il faut bien au moins un des deux enfants qui fera la fierté de ses parents un jour.
statut civil célibataire. au plus grand plaisir de son frère.
orientation hétérosexuelle.
vit avec papa, maman et son grand frère. rien de fou. la classique famille aisée. une mère passive, qui fait plus acte de présence qu'autre chose, un père autoritaire, qu'on écoute si on ne veut pas s'en prendre une. qu'on ne défie pas, par peur. et un grand frère, qu'elle aime autant qu'elle a envie de secouer. une vraie famille parfaite.
situation financière aisée. très aisée. on vit plutôt bien chez les van der leeuw.
son avis sur la confrérie elle admirait la confrérie, rêvant secrètement d'y entrer un jour. pour rendre encore plus fier son père. mais ça, c'était avant. avant que son frère n'y entre, avant qu'il change de comportement. avant qu'il fasse passer la confrérie avant elle.
en fait partie non
avatar charlotte mckee
groupe rembrandt
caractère— le rayon de soleil, le rire facile, douceur d'une gamine un peu trop naive, la voix qui s'élève face à un frère dans l'excès, la jupe un peu trop courte, les ongles toujours faits, les dizaines de bracelets au poignet droit, la montre cadeau du frère pour les dix huit ans au poignet gauche, passion aquarelle et dessin, fierté bien trop mal placée, râleuse, le coeur qui divague, les lunettes en guise de serre tête, l'arrogance comme héritage familial, le code secret avec son frère quand il y a besoin de se sortir d'une situation compliquée avec les parents.
du vrac (tu peux choisir d'enlever certaines questions si elles ne t'intéressent pas, ou les remplacer par autre chose) son dernier mensonge je vais bien, ne t'en fais pas. à son frère quand ça parle d'andreas. rassurer un frère un peu trop protecteur pour avoir la paix. alors que c'est faux. elle a le coeur en miettes rosa. mais sa fierté refuse de l'admettre. pas question de pleurer pour un garçon et encore moins dans les bras de son frère. et puis elle veut pas l'inquiéter de trop non plus.
style vestimentaire princesse toujours bien apprêtée, parce que papa lui a appris que l'apparence fait beaucoup dans ce monde.
le dernier plat raté elle rate pas les plats rosa, c'est le personnel de maison qui rate les plats qu'elle leur demande. elle, elle est la gamine assise sur le comptoir à regarder les autres faire. elle voudrait bien apprendre un jour, à faire autre chose que des pates.
son dernier achat un nouveau téléphone après que le sien soit passé par la fenêtre. moment d'égarement.
sa relation à sa famille la grande joie. une mère qui essaie de lui apprendre à être comme elle, à s'écraser face à un père un peu trop autoritaire. un père charismatique, qui fait presque peur quand il parle. si bien que rosa, elle n'ose absolument rien dire. ni même essayer de le contredire. et heureusement, il y a son frère, la bouée à laquelle se raccrocher quand ça va pas. elle l'aime a peu près autant qu'elle le déteste, mais sans lui elle serait bien perdue.
un défaut agaçant être tout le temps dans les pates de son frère. mais est ce vraiment un défaut ?
long short storyle regard qui divague dans le salon immense. d’abord les chaussures puis le bouquet de fleur sur la table basse puis enfin le coussin sur le canapé. tout pour ne pas croiser le regard lourd de sens du père de famille dont elle entend déjà les reproches alors même qu’il vient à peine de franchir l’entrée du salon. l’ambiance devient pesante. et rosa, elle attend. l’engueulade, la sentence. des fiancailles préméditées rompues ça va pas plaire. elle le sait. trop bien. si juste ça avait pu attendre quelques heures pour arriver aux oreilles de la famille, ça aurait été mieux. juste le temps de prévenir valentijn pour qu’il vienne en secours. la seule personne sur qui elle peut compter dans cette famille. mais il est pas là aujourd’hui. sans doute avec un de ses potes à faire on ne sait quoi. se bourrer la gueule, sauter une des groupies qui lui courent après. qui sait. un texto qui part,
need your help right now. mais elle est certaine qu’il arrivera pas à temps, pas avant la tempête père van der leeuw. et ça loupe pas. au moment même où elle croise le regard de son père, rosa entend les reproches. les tu me fais honte, encore et encore, comme une douce mélodie. les tu es bonne à rien. elle essaie de s’expliquer mais rien y fait. il a toujours raison. on le sait bien. alors elle encaisse. comme d’habitude. les larmes qui commencent à couler le long des joues. l’élan de courage qui s’éveille pour tenir tête à ce père bien trop ancré dans ses positions et qui repart aussi vite qu’il est venu. oui, elle vient de rompre ses fiançailles. oui elle vient de perdre une occasion de faire un beau mariage business. blablabla. elle n’écoute même plus ce refrain. puis quand le calme revient à peu près, elle décide de fuir. sans un mot. ça ne ferait qu’empirer les choses. direction sa chambre. le seul endroit où elle se sent réellement en sécurité. enfouie dans les couvertures, les larmes qui coulent toutes seules, la décision la plus dure à prendre de sa courte vie, ces fiançailles à rompre. et valentijn qui finit par débarquer. trop tard comme toujours.
« t’étais où bordel » reproche a moitié caché alors qu’elle se lève pour se ruer dans les bras réconfortants de son grand frère.
« c’est fini avec andreas et papa l’a appris, si tu avais entendu toutes les horreurs qu'il m'a dites je... ». gamine qui fond littérairement en larmes dans les bras du garçon. comme une scène qui se répète inlassablement à chaque contrariété paternelle.
happy hourspseudo lau.
type de personnage pl de
@valentijn van der leeuw.
as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? why not (:
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile plutôt hyperactive, mais tout dépend du boulot
je souhaite réserver : - Code:
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[i]charlotte mckee (12/11)[/i]