nom patronyme au passé houleux, flou et névrosé ;
derksen est aussi sévère de prononciation qu’il n’est dur à entendre pour les habitants de
leiden. relique d’une époque révolue et souvenir d’heures troubles, rien n’est jamais bon à porter le nom d’un ancien baron de la drogue. et quand bien même les petits-fils de ce-dernier partiraient en quête d’un honneur à retrouver, le père lui, jamais ne laissera ça arriver. .
prénom était-il obligé d’hériter d’un nom toujours aussi peu apprécié ?
ruben. malgré toutes les années passées, les mémoires sont vives, affolées et encore torturées par celui qui jadis venait de lancer l’un des trafics les plus influents de la décennie. et comme c’est détestable de porter le nom d’un ancêtre ravagé, pourquoi ne pas en changer ? .
surnom toujours l'esquisse au visage quand un petit "
rubrub" sort des lèvres de spieghell (et tout le monde sait que jamais il n'en sera rassasié).
âge il y aura
vingt-deux bougies sur son
prochain brownie.
emploi/occupation petit scientifique de renom,
grand artiste en devenir ; ruben se trouve le jour même où un pinceau atterrit entre ses mains. sensible à toutes formes d’art il trouve en ce domaine un exutoire sans nom dans lequel il déversera autant de joie que de bonheur. véritable catharsis, les toiles sont la fin et les pinceaux les moyens de ce qui semble être l’organisation du boulevard entremêlé de ses pensées. mais malgré toute l’énergie littéraire qu’on pourra lui assimiler ; il reste un petit génie qui jadis termina premier du concours de sciences en présentant une maquette miniature des moteurs d’une fusée. à ses heures perdues il peint, modèle, sculpte, écrit, dessine, chante et compose, danse, rêve, lit, crie, court, marche, nage, rêve, mange, bois, dort, joue, se promène, procrastine, cuisine (du moins il essaie), bricole,
((etc)).
statut civil pacsé à ses toiles, marié à ses pinceaux, veuf de méfiance mais
célibataire de naissance.
orientation quelques nymphes par-ci mais aussi quelques apollons par-là !
vit avec un
grand frère aussi perdu que lui, un
chien adopté au détour d’une spa nonchalamment visitée, voilà les habitants d’une colocation aussi bordélique d'hypertonique. rien de mieux comme colocation que deux grands fêtards et un chien roublard..
situation financière des murs pourris, un plancher grinçant. jamais la place pour d’l’argent.
son avis sur la confrérie jamais il n’y avait pensé. lui qui pensait passer toute sa vie à fuir ses quelques démons d’antan, s’apprivoiser tout seul en acceptant la fatalité de ses idées pourries, se vit bien surpris quand, pour la première fois, une main lui fuit tendue. la réalité venait de le rattraper. et il n’avait pas rechigné pour l'enlacer. pour son frère, pour lui, pour Pat son chien, pour contrarier son père ? blâmer son grand-père ? rien n’avait été lucide, mais bon sang,
tant qu’il veille sur lieven, il est content.
en fait partie oui.
avatar evan peters.
groupe elinga.
caractère— fêtard, souriant, maladroit, manichéen, caustique, perfide, inspiré, tenaillé et en même temps si joyeux, hâbleur, logique, loquace, pétillant, diplomate, colérique, impulsif et pourtant tout ce qu'il y a de plus patient, contradictoire et dynamique... railleur
mais amusant.
du vrac son dernier mensonge "écoute, l'un de nous deux a cassé la télé et je suis presque sur que ce n'est pas moi."
style vestimentaire des sneakers à son frère par-ci, des manteaux à liesen par-là, jamais trop l'temps d'savoir comment il se montrera.
son dernier achat une pizza à faire réchauffer.
le dernier plat raté une pizza qu'il n'a pas su faire réchauffer.
guilty pleasure song wannabe des spice girls.
son plus gros regret ne pas encore avoir dit à lieven qu'il avait cassé son vase préféré.
sa relation à sa famille écrire ici.
un défaut agaçant abusivement souriant.
long short storyles touffes blondes de notre protagoniste apparaissent aux lueurs de la matinée du
quatorzième jour de juillet ;
“toujours tu imiteras jamais tu n’égaleras”, tels furent les premiers mots d’une vie bien remplie et d’une relation avec son frère bien plus fusionnelle que les apparences peuvent encore aujourd’hui le démontrer.
depuis toujours, railleries et sarcasmes noient notre Ruben dans un foyer des plus animés
- par un père drogué et une mère absente - mais surtout par Pat son shar-peï et Hendrick son frère aîné.
il ne passe que quelques jours après la naissance de Ruben avant que la mère
- en pleine démence paranoïaque - ne décide de prendre la fuite avec ce dernier, trop apeurée de voir ses quelques jours en sa compagnie réduit à néant par le trafic que tient son mari.
elle réussira à rester discrète quelques semaines mais se verra retourner au domicile familial à la suite de sa prise de conscience quant à l’avenir incertain qu’elle réservait à son fils dans de telles conditions.
le retour est dur, amer, et des plus violents
- rien à voir avoir les retrouvailles chaleureuses que vous pourriez voir au détour d’un succès cinématographique - et seulement douze jours plus tard, Lady Derksen disparaît sans trop d’explications
((“elle nous a quitté” avait dit Monsieur)).
finalement, petit était devenu grand mais gentil était-il devenu méchant ? loin de là, simplement torturé, tenaillé, menacé de perdre pied. il jouait sa vie quand il osait demander quelconque aide à son géniteur, il jouait sa vie constamment aux côtés de ce-dernier et de son trafic qui avec les années .
le point positif parmi toute cette effervescence de malchance, la lumière du bout du tunnel, la motivation de se lever le matin apparu aux lueurs d’un jour de décembre, le onzième.
lieven appar.. non déboula et chamboula tout dans la vie de ruben. solitaire était devenu dépendant. il ne la quitta plus, il était devenu l’ombre de lieven, et elle la sienne.
rien ne vient à bout d’eux, pas même les cours, pas même le temps, pas même l’ennui de leur vie pourtant si remplie.
puis tout bascule au volant d’une audi.
l’épée de damnoclès toujours au dessus du crâne, déménagement en express. soutien moral cherché en un lourdo shar-pei
(bienvenue Pat), insouciance récupéré au détour de quelques soirées.
toujours surmonté, jamais oublié, le vaurien reste tourmenté.
lieven de toujours il sera accompagné,
d’ailleurs au sein de la
confrérie il l’a même accompagné.
happy hourspseudo eva.
type de personnage joliment inventé.
as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? et plutôt deux fois qu'une !
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile j'en ai jamais assez.
je souhaite réserver : - Code:
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[i]peter evans (13/11)[/i]