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warning / contenu violent, sexuel ou choquant — pour permettre les sujets et les personnages en accord avec le contexte le forum passe [-16] ans.
il est possible que certains personnages aient un comportement violent, nous en appelons au bon sens de chacun pour bien comprendre qu'il s'agit de fiction et ne pas confondre joueur et personnage.
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 ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs

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Eddy Padilla
Eddy Padilla
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occupation : travailleur du sexe. que l'on dit catin ou amoureux.
originaire de : la grande dam.
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ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs Empty
MessageSujet: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 21:50

e m p r e i n t e . d e s . s e n s
juste d'la drogue douce
pour pas être surpris
par de géantes touzes de peur et de cris
des calmants lourds
pour jouer l'innocent
un œil en somme toujours prêt à temps
nom son nom, à lui, alors qu'il ne l'a pas connu. c'est fou comme on peut porter le fardeau d'un autre, le poids d'une histoire, celui d'une famille. c'est fou de voir que dès la naissance, on se trouve affublé de crimes qui ne sont pas les autres, d'une charge mentale telle qu'on finira par l'ignorer, héritage social et culturel que l'on préfère nier. il n'a que peu connu son géniteur et pourtant, il porte son nom. convention, société, loi, habitude; il n'a jamais su qu'il blâmer. ( p a d i l l a ) de ces interjections de cour de récré, mini-lui, mais l'autre est différent. mini-eux, parce que les visages se superposent à la perfection. les dates sur les photos semblent tout à coup erronées. et sa mère en souriait; des tu ressembles à ton père tu sais murmuré sur le ton de la confidence, comme on chérit un bien un peu trop précieux. prénom, surnom il s'efface sur le pas de la porte, s'éteint dans une dernière cigarette, relents de cannabis dissipés par le vent. il se perd en regardant le ciel, une ultime grimace pour le plafond grisâtre de leiden, avant de se nécroser, de disparaître et de crever sous le masque d'un autre. adolescent. gamin. enfant. ( e d d y ) n'existe qu'à certaines heures du jour, à destination du grand public, à l'extérieur, dans les rues cabossées d'une vie aux airs de comédie dramatique. pour l'épicier, pour le dealer du quartier, pour les bonnes gens et sur la carte d'identité. ( c o c o ) mégot qui heurte le béton, au vent humide et glacé succède la chaleur de l'appartement, d'une maison de maître aux cloisons épaisses, moite et parfumée, de ces odeurs de sucre et d'amour qui entêtent et abrutissent les êtres les plus éclairés. l'identité perdue pour mieux se préserver, dissociation hurlante pour ne pas sombrer, il y a lui et il y a l'autre, l'original et l'inventé, le mélancolique et le passionné, celui qui empêche l'autre de sombrer. âge la voix d'un homme, la silhouette d'un enfant, la carcasse élancée d'un retraité de l'armée, mais les mains délicates d'une couturière, les sourires d'un plaisancier, les regards d'un malade, les émotions d'une veille dame contant son histoire prisonnière de la cage dorée d'une maison de retraite, la tranquillité de cette plante en pot, au coin du bureau, celle-là même que l'on oublie trop souvent d'arroser; et les intonations d'un chiot battu, la créativité ambitieuse d'un jeune adulte, les désillusions d'un quadra, l'espoir d'un adolescent, les pleurs d'un nouveau-né, mais aussi ceux d'un adulte mal dans sa peau, de cette femme devenue cadre ou de cet homme au foyer. ( v i n g t - d e u x ) tous les âges et tous les regards, marmot qui a grandi bien trop vite, responsabilités tombées brutalement sur ses frêles épaules lorsqu'il lui a fallu comprendre les papiers pour l'héritage et ceux pour les funérailles. celui qui en voit trop, tout le temps, partout, sans arrêt. appelé gamin ou mon cœur par les client, crétin ou trésor; mais le plus souvent, personne ne s'amuse à compter les cernes sous ses yeux sombres. emploi noyé par la foule, bousculées les épaules, entre deux corps pressés, la chaleur des rues étriquées, visages anonymes aux regards baissés, vers le pavé et les carcasses mal baisées, murmures hurlants des habitués, œillades discrètes et gênées, les touristes tiraillés par la curiosité. quartier rouge de dam et les néons bariolés, font ressortir la sensualité des courbes dénudées; pores de la peau savamment dévoilés, de celles et ceux que seules les lumières roses peuvent habiller. à distribuer des rêves, coco, un brin de tendresse sur l'oreiller, froisser les draps et dissiper les angoisses. la question de la morale ou de l'éthique cadenassée derrière quelques sourires distribués au plus offrant. ( t r a v a i l l e u r . d u . s e x e ) susurré avec un aplomb exquis, les caresses à fleur de de chair et les lippes crispées pour te plaire. façonné par les effluves parfumées de ces quartiers où l'esprit se perd au profit des cadavres ambulants. fier d'une vocation dénuée d'ambition, charisme de chat au charme insolent. pour le plaisir, glousse coco. pour l'argent, dodeline eddy, lorsque les néons fanent et que les embruns rougeoyants se meurent au profit de lueurs blanchâtres révélant cernes mornes et teint blafard. statut civil lui, lui, lui, elle, lui, elle, lui, lui, elle, elle, lui, lui, lui et lui aussi. parfois lui et tantôt elle. le lit sans arrêt défait, vie conjugale en pagaille, relations sans lendemain, mais les réguliers se font fidèles, à murmurer son prénom avec une tendresse insolente. pour lui, ils et elles ôtent bagues et alliances, s'inventent poètes ou sauveurs, douceur ou violence. mais le résultat est le même. les promesses sont des mirages, l'amour d'est qu'une illusion. il n'appartient à personne, coco, il ne sait même pas s'appartenir à lui-même. il a bien essayé, une fois ou deux, de se fixer, un temps, trop court. le premier a fui en l'apprenant, au second il ne l'a jamais dit. mais on ne peut longtemps garder le secret, les coups sur la peau ou les marques d'attachement factice. elles s'effacent avec le temps mais sans arrêt renouvelées ne disparaissent jamais totalement. ( s e u l ) plus que de raison, l'âme a brisé ses chaînes et le cœur n'appartient à personne. mais il se laisse avoir, eddy, trop aisément. par de beaux regards ou de délicates attentions. un rien le fait basculer, se dire que le prochain sera le bon. sûrement qu'ainsi, le poids écrasant de ce manque est plus simple à supporter. orientation il les accepte, tous, toutes, son esprit qui s'emballe pour eux et elles, sans distinction, sûrement parce que c'est ce qu'on attend. écarter les cuisses et jouer à la poupée fragile. agressif et serpent, délicat et intense, sauvageon et tranquille. mais le cœur reste muet, bien trop souvent, incapable de se fixer, de savoir. sûrement qu'il ne s'est jamais posé la question eddy, de ce qui lui plairait, de ce qui le rendait fébrile, de ce qui pourrait le sécuriser. sûrement qu'il n'a jamais pris le temps d'y songer. ( p a n s e x u e l ) sans savoir quelle carcasse saurait au fond amener dans ses bras ce sentiment de sécurité, cette douceur, cet amour illusoire, auquel le gamin a cessé de croire. vit avec elle, elle, elle, lui, elle, lui, elle, elle, lui, lui, elle, elle, elle et elle aussi. parfois elle et tantôt lui. des elle plus souvent que des lui, plus simples à battre, la chair plus tendre et la client'elle plus demandeuse. elles qui sont amoureuses, elles qui sont attentives, elles qui rêvent et des eux qui s'éternisent. réunis au même endroit par de mêmes prétextes, multitudes d'histoires, les valises lourdes de passés encombrés. jamais seul, jamais isolé. mais quand les portes se ferment, d'elles ne restent plus que les voix étouffées. et la ( s o l i t u d e ) impose ses silences pesant. mais il l'apprécie sans doute, il la savoure, il en profite. pages de livres qui se tournent et tintements de verres. il aime entendre le son du tissu qui se froisse et celui discret de sa respiration. il se retrouve, dans ses moments, coco ôte ses oripeaux et laisse apparaître un eddy encore tremblant. situation financière les poches sont vides, désespérément vides; mais il est riche de regards, de sourires, de tendresse, de passions, d'attention, de belles paroles, de mensonges, d'espoirs, de gentillesse, de fougue, de sensualité, de jeunesse, de sentiments, de peurs. capable de provoquer le grand frisson, de consoler, d'aimer, quelques minutes ou quelques heures. riche d'affection. riche de ne rien posséder, riche de ne rien désirer. riche de baisers. riche de médiocrité. ( m i n a b l e ) riche de connaître la véritable valeur des choses, riche de préférer un ami à un bien. riche de savoir apprécier la beauté de cette bague ou le poids de ce bracelet. eddy est de cette population invisible, de ces êtres que l'on oublie bien souvent, qui ne peuvent compter que sur eux et qui mettent les plus petits centimes de côté. pour elle. seulement pour elle. sans cette motivation, sûrement qu'il se contenterait d'eau et de vent. son avis sur la confrérie l'ignorance, le désintérêt, franc, réel, profondément ancré. ce monde qui n'est pas le sien, qui ne le sera jamais, qui ne l'acceptera pas et que lui-même n'est pas enclin à accepter. ces ombres froides enrobées d'or, ces murmures, ces apparences, ces appartenances, ces richesses, cette charité fantaisiste, cette façon de parler, de regarder, d'observer. ( r i e n . à . f o u t r e ) la confrérie, il la voit défiler nue dans son lit, il la voit dans son plus simple appareil, il voit ses défauts et son visage déformé par le moindre orgasme. en fait partie il n'est pas question de cela, s'arracher ses ailes usées pour les remplacer par un mécanisme en acier. ( n o n ) laissez-le vivre, laissez-le rêver de banalité, de normalité, d'un quotidien morne et apaisé. avatar l'adorable et néanmoins trop rare ( d o m i n i c . f i k e ). groupe crève le soleil au fond de ses yeux, crève l'état au cœur de ses sourires, fondent les hivers les plus sombres sous ses mains arides. ( e l i n g a ) apprivoiser vermeer, enlacer les idées folles de van gogh, décrocher les astres de rembrandt. la beauté tendre de ses jeux d'enfants, ses passions immatures ont le mérite de dérider les âmes les plus tourmentées. mais à quel prix, oseront demander les passionnés.

caractère

menteur exquis; jeux d'enfants; (( pour ton regard, je croquerai la lune et j'avalerai un bout d'étoile )); t e n d r e s s e; joie de vivre clownesque; l'innocence que l'on remet en question; passions; pǝʌɐs ǝq oʇ pǝǝu ʇˌuop ʻʎɹoʇs ǝɥʇ ɟo oɹǝɥ; taquin; REGARDE-MOI; débrouillard; all we're looking for; silences et sourires; tenace; i m m a t u r i t é; ǝɯ ʇɔǝʇoɹd ǝɯ ʇɔǝʇoɹd; les romances sont-elles autorisées; généreux; savior; (( honnêteté chancelante )); marchand d'étoiles; quelle douce faiblesse; nonchalant; ᴊᴏᴠɪᴀʟ; rêves; (im)patiences; routine écrasante; SPONTANÉ; paupières lourdes d'insomnies; cocaïne blues; l o y a u t é; couleurs explosives; impulsif; (( sociable )); ǝᴉๅoɔuɐๅǝɯ; des cœurs au creux des paumes; artiste; ondule la langueur entre ses traits étourdis; têtu; s’enivrer d'interdits; aussi violemment que ma peine; imaginatif; ʜᴜᴍᴀɪɴ; c o u r a g e; tout avant la prudence; SOLAIRE; amours imaginaires; émotions; peaceful.

décroche,
décroche,
décroche,
décroche les astres


du vrac

dernier mensonge dans le reflet d'un miroir fendu en son centre, l’œil taquin, l’œil malice, l'iris noir à la pupille terriblement dilatée, féline et lascive. j e . t ' a i m e car voilà tout ce qu'ils désirent entendre. les plus beaux mensonges enrobés de vérité. style vestimentaire près du corps et près du cœur, les tissus douceur, transparence et résille qui s'entremêlent savamment, cuir, bretelles et corsets, déguisements comme autant de tenues de soirée. mais lorsque le projecteur s'éteint, s'immiscent les pulls épais, les jeans troués, les hauts qui dégueulent le long de l'épaule et les fringues de mauvaise qualité. s i m p l i c i t é loin d'être ostentatoire, à la lueur vacillante de l'aube, il reprise ses chaussettes dépareillées. plus gros regret loin d'elle, une éternité qui les sépare, une ville, une vie. les mensonges qui se sont accumulés, pour la préserver, pour son bien qu'il dit. construire un décor en pâte à modeler, se dissimuler derrière un écran de fumée. des e t . s i en pagaille, si le quotidien était plus sain, s'il était responsable, s'il avait de l'argent. la distance et le fossé creusé entre eux bouffent peu à peu ce qui lui reste de courage. (( il voudrait juste la serrer dans ses bras )) secrets à garder ne dis pas à ta sœur que des hommes viennent te voir. ne lui dit pas que parfois, les femmes aussi viennent quémander tes regards. ne dis pas que ton travail se résume à ça. ne dis pas que tes genoux sont écorchés. ne dis pas que ton dos est griffé. ne lui dis pas que tu dois te doucher plusieurs fois par jour. ne lui dis pas que ça pourrait être pire, ne dis pas que ces beaux vêtements ne sont pas les tiens. dis à ta sœur que tu l'aimes et qu'elle te manque. dis lui que tu as gagné assez d'argent ce mois-ci pour lui acheter ce téléphone dont elle rêve. ne lui dis pas que tu bouffes pas, pour économiser. ne lui parle pas de tes heures sup. ne dis rien au sujet de la honte. n e . l u i . d i s . p a s que tu ne sais pas à quoi demain ressemblera. dernier achat les pas battent le pavé, rapides, pressés. pas un regard pour la foule, pas un regard pour les passants, les yeux résolument baissés vers le trottoir crasseux de la ville. pour se protéger de la pluie, des sons, des œillades déplaisantes, du monde. les épaules voûtées, un peu, à peine, pour préserver le sac tenu serré contre son torse. dans le sac, une boîte. dans la boîte, du papier. dans le papier, un b o n n e t. rouge, quelques brillants semblables à des perles pour en marquer le tour. mais il ne le déballe pas en arrivant, non, il ne le verra plus jamais. il laisse le bonnet dans le papier, le papier dans la boîte, la boîte dans le sac. il met le sac dans une enveloppe et écrit son adresse, à elle, pas la sienne. et il attend. il attend, avec impatience. sa relation à sa famille quand il ferme les yeux, il revoit parfois leurs visages. il revoit les souvenirs qui se bousculent. il revoit les sourires. les leurs, à eux, souriants. épanouis. sa mère porte un manteau jaune poussin, elle fixe l'objectif, mais le voit à peine tant ses yeux sont plissés, déformés par le soleil et la joie qui illumine son visage. dans ses bras, un petit morceau d'humanité, amas de chair. lui. avant cette photo le réconfortait. maintenant, elle ne fait que mettre en lumière l'absence de son père ((il prenait la photo)) et celle de sa s o e u r. la femme de sa vie. la seule, en vérité. la seule à compter. la celle pour qui il donnerait sa vie.

long short story

i.
enfance à bras le cœur.
mère tendresse, papa chimère.
elle se meurt et lui se perd.
ne reste que le silence dans l'appartement.
et le désespoir de maman.
mais il balaie les pleurs et les sanglots;
pour les femmes de sa vie, s’improvise
artiste,
rêveur,
acrobate,
danseur,
clown,
prodige,
magicien,

et les voix tremblantes se changent en rires,
lorsqu’il parvient à bâtir sur de vulgaires ruines
un simulacre d’empire.
ii.
un client,
un bâton.
deux clients,
deux bâtons.
trois clients,
...
et quand y'a plus de place
s u r . l e . m u r
il vaut mieux en changer.
iii.
un jour ne reste qu'une tombe,
décorée d'une fleur en plastique,
et d'un dessin coloré que la pluie a effacé.
souvenirs,
amour,
à notre mère,
tu vas nous manquer

il doit expliquer à l'enfant
qu'ils vont être séparés.
qu'elle trouvera une nouvelle maman,
qu'elle aura un papa à aimer.
et il ne peut que sourire,
quand elle demande
et toi ?
sourire pour ne pas chialer.
iv.
les boucles brunes tombent
u n e
à
u n e
(( sa mère les adorait ))
tondeuse assourdissante
rugissante à l'oreille
ça fait trop jeune, qu'ils disaient
un air d'enfant, qu'ils disaient
personne ne veut d'un gamin dans son lit.
alors pour compenser la perte,
il sourit eddy,
c'est pas grave
qu'il murmure,
et sur son crâne commencent à fleurir
les prémices d'un arc-en-ciel
rose,
vert,
jaune,
blanc,
rouge,
mauve,
bleu,
ce que tu veux
v.
grand gamin,
immature,
puéril,
p e t e r . p a n
se rouler dans la poussière
pour les beaux yeux d'un enfant.
sûrement qu'il se jetterait sous une voiture,
pour un putain de garnement.

vi.
combustion, comme une lueur dans le brouillard,
une vague de chaleur qui submerge le cœur.
déscolarisé trop tôt, remède à la pauvreté.
s’égarer dans le quartier rouge et commencer à travailler.
travailler,
travailler,
indifférence à la douleur gagnée à coup de poussière d’étoile,
à l’euphorie succède la tranquillité.
c a n n a b i s . e t . c o c a ï n e
rongent l’âme et déforment la carcasse.
mais les pilules sont avalées
par une envolée de sourires.
vii.
le sommeil lourd,
un sommeil de plomb,
une belle au bois dormant
sans son prince charmant,
la peau froide,
des difficultés à émerger,
la sensation de sortir du brouillard
comme si le mieux au fond
c'était de pas se réveiller
viii.
femme nue étendue sur le lit,
avachie dans les draps,
jouant du bout des doigts
avec quelques mèches brunes,
le corps couvert d'un fin tissu
laissant entrevoir çà la courbe d'une épaule,
là le bombé d'un sein.
dis-moi,
susurre-t-elle d'une voix d'enfant plaintif,
nasillarde et déplaisante,
dis-moi ta plus belle vérité.
mais il n'a pas de réponse à lui apporter.
m é l a n c o l i e . s u i n t a n t e
ix.
t'es trop gentil, eddy
tu te feras bouffer
égorger,
buter,
avaler,
ruiner,
crever,
martyriser,
assassiner,
abuser

encore et encore
et encore et encore
jusqu'à ce que t'en puisses plus
que le corps s'émiette
et que l'esprit lâche
et y'aura personne pour te ramasser
parce que t'es
s e u l
et tu finiras comme cette fille au deuxième
celle qu'on a étranglé
ou comme cette autre, au premier
qui a préféré se flinguer
x.
j'ai peur tu sais,
de pas savoir faire.
de pas savoir dire.
de pas savoir comment.
de pas savoir pourquoi.
de pas savoir à quoi
d e m a i n
ressemblera.

happy hours
pseudo creature. type de personnage c'est un inventé. as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? non, ça devrait aller, mais c'est fort gentil de proposer eh big heart plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile plutôt du genre cool raoul, faut pas me stresser, j'ai un potit cœur fragile.

je souhaite réserver :

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[i]dominic fike (15/11)[/i]
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Marius Giostra
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 21:59

bonjour
big heart big heart big heart
jotem
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Lieven Spieghell
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 22:06

j'adore ce que je lis shy
bienvenue par ici et bon courage pour la suite de ta fiche !! big heart
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Eddy Padilla
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 22:07

@marius giostra
no,
moi,
jotem
wink

@lieven spieghell merci petite douceur big heart
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Saul Lugaard
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 22:15

eddy padilla a écrit:
apprivoiser vermeer, enlacer les idées folles de van gogh, décrocher les astres de rembrandt. la beauté tendre de ses jeux d'enfants, ses passions immatures ont le mérite de dérider les âmes les plus tourmentées. mais à quel prix, oseront demander les passionnés.

c'est quoi ça ? cette beauté dans tes mots, je..
kylie nabilla ah

bienvenue ici, c'est que t'es vraiment cute toi drama
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 23:16

amoureuse de la plume.
tout est si joli. kylie
bienvenue. big heart
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyDim 15 Nov - 23:46

quand tu prends la phrase do it for the aesthetics au pied de la lettre
ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs 1f64c

sous le charme de la plume brutale
y a ça de saccadé qui s'accorde si bien à ce que j'imagine du perso I love you

encore ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs 1f44b
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyLun 16 Nov - 1:22

euh déjà bonjour,
normalement on prévient avant de lâcher de la perfection comme ça cryy
je sens qu'eddy nous réserve bien des choses, bienvenue chez toi pls love u
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Egon Huysmans
Egon Huysmans
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyLun 16 Nov - 17:15

ce ship qui se profile
oulala
des mots, encore des mots, ça se lit trop bien trop vite cryy
bienvenue I love you
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Eddy Padilla
Eddy Padilla
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptyMer 18 Nov - 10:46

@Saul Lugaard krkrkr la botey inspirée de toi,
en te voyant tu comprends, c'est venu tout seul sun
merci, t'es adorable  big heart

@Bas Bijleveld et moi inlove de toi, hop
merci potit chat  shy

@Bram de Graaf oups ?
merci, je... oui, merci lovee
j'espère que la suite ne te décevra pas eh

@Janne Rijcken ptn au début en te lisant G EU PEUR OKEH
je pensais avoir oublié quelque chose de grave et tout sad
merci beaucoup, love love sur toi shy big heart

@Egon Huysmans oups, grillés weirdo
merci chouchou Like a Star @ heaven big heart
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Aart Elzevir
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptySam 21 Nov - 16:03

ce ship promet tellement.
merci de nous nourrir rapidement.
j'adore le duo.
la fiche est dingue dead
bienvenue big heart
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Eddy Padilla
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptySam 21 Nov - 20:07

@Aart Elzevir merci beaucoup chaton dead big heart
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Ksenia Belinski
Ksenia Belinski
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptySam 21 Nov - 22:26

toujours amoureuse de cette fiche drama
je te valide, j'ai hâte d'avance de pouvoir stalker l'air de rien yay
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Eddy Padilla
Eddy Padilla
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs EmptySam 21 Nov - 23:12

@Ksenia Belinski merci douceur hiiiii lovee
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MessageSujet: Re: ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs   ᴘʀᴇ́ᴍɪᴄᴇs Empty

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