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 drunk words sober thoughts

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Ksenia Belinski
Ksenia Belinski
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MessageSujet: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 14:07

muscle to muscle and toe to toe
She may contain the urge to run away
But hold her down with soggy clothes and breezeblocks
Citrezene your fever's gripped me again
Never kisses all you ever send are fullstops, la la la la
nom ça se gueule à la fenêtre dans la soirée fraîche et humide de l'automne, avec l'accent absurde qui n'a jamais voulu quitter la bouche de sa mère. belinski, qu'elle entend que lorsqu'elle fait n'importe quoi, que lorsqu'elle dépasse les bornes, que lorsqu'elle foire tout. donc approximativement trente fois par jour. prénom  ksenia, écorché, massacré, évincéré, amputé de lettres, putain c'est quand même pas si compliqué de faire l'effort, de cesser de muter un ks en x, tous dopés qu'ils sont aux références hasardeuses à xena -pas son époque, pas de sa bataille. ksenia, qu'elle épelle avec plus de lassitude que si on lui demandait sa main, l'air d'être blasée pour au moins jusqu'en 2042, année où elle capitulera et les laissera tous écrire xenia comme si c'était normal. surnom baby. c'est ridicule, dans certaines bouches c'est carrément vulgaire. c'est n'importe quoi, hérité d'une situation pas moins absurde, et c'est resté, comme une voie facile et un peu moqueuse de ne pas filer son prénom, ni ses origines, ni rien. c'est comme un nom de scène stupide, inhérente à la libido poisseuse d'un faux romantisme d'un garçon qu'elle a largement eu le temps d'oublier depuis. âge tout dépend de qui demande, du ton, de la situation. l'état civil souligne l'immaturité d'un couperet qu'elle assume mal : dix-neuf ans, à peine plus qu'un poupon. pour les autres, elle prétendra toujours avoir quelques années de plus, pour ne pas être classée comme une adolescente, pour approcher des types plus vieux, pour se croire plus indépendante, plus adulte, plus tout. emploi/occupation étudiante larguée, plus occupée à draguer le dealer qui rode autour des amphi avec son petit look preppy de connard en cursus de commerce ou de droit internationale qu'à suivre vraiment les cours. soit elle sèche, soit elle dort soit elle met toute son énergie inexistante dans ce f u c k qu'elle grave sur les tables comme une poète des temps modernes. cadavre assoupie en langues étrangères. fluent speaker en slang, mais ça compte pas dans le bulletin de notes my bad. statut civil wild as fuck. on raconte encore en rigolant la fois au collège où elle a planté sa fourchette dans la cuisse d'un garçon qui a voulu l'embrasser à la cantine parce qu'ils jouaient. pourtant elle veut bien jouer ksenia, mais elle a des règles qu'elle seule connait. allumeuse, rentre-dedans, vulgaire, et subitement chaste, moqueuse, occupée à rembarrer. on lui connait un célibat sauvage, loin de signifier abstinence mais clairement indemne de toutes ces âneries de sentiments qu'elle laisse volontiers aux cruches qui ont besoin que leur coeur palpite pour justifier qu'elles perdent leur culotte.  orientation ce qui se maitrise facilement en promettant de tomber à genoux pour eux, ce qui a un cerveau aléatoirement présent : boys. vit avec sa mère, le feuilleton que la voisine sourde met trop fort, les gémissements de la nana qui joue à la camgirl dans l'appart au-dessus et ses bonnes idées. ça fait beaucoup de monde au mètre carré. situation financière explosée. anéantie. retour à la case départ, banqueroute inattendue faite avec des seins refaits, des lèvres botoxées, et d'un appétit goulu pour les types mariés. bon. belinski père s'est barré, affublé de son nouveau ballon de baudruche-femme, a emporté les comptes grassement fournis, et soudain, plus rien. adieu la chambre qui dégueule la richesse, bonjour l'appartement aux murs trop fins, aux engueulades des voisins percent les cloisons, au chien du vieux du cinquième qui pisse toujours dans le hall d'immeuble.  son avis sur la confrérie putain de viviers sans fin de types à tourmenter qui méritent que ça, de montres à tirer, de situations à envier, de collectionneurs de bibelots aux allures d'oeufs hideux qui valent trop cher pour que quelqu'un puisse comprendre le sens de tout ça. une belle bande d'hypocrites, parfois juste de chiens sur les dents, de greluches, de paumés rentrés là parce qu'il y avait de la lumière et du vin. ribambelles d'orgies, de célébration à bachus pas dénuées d'intérêts quoique rapidement lassantes ; quand on en a fait une, toutes les soirées se ressemblent. somme toute, une cacophonie aussi répugnante qu'attirante. c'est comme la drogue, c'est mal d'y toucher, mais s'y défoncer fait toujours du bien, bien avant de faire du mal. en fait partie officiellement non ; possède le panache de s'y inviter et tente d'y faire banaliser sa présence avatar sage tullis. groupe van gogh.


who's inside-out
la provocation râpeuse sur la langue / le majeur aussi instinctif qu'un clignement d'yeux / la sale manie de voler / la moue boudeuse / les yeux qui roulent / les propositions vulgaires suivies d'un refus moqueur / les insultes en russe / les mensonges pour pas voir la vérité / le père qui s'est tiré / le compte en banque qui suit plus / les nuits au poste de police avant la majorité / la provocation facile / les mauvaises fréquentations pour le genre /  la flasque avec la vodka volée au père / le chewing gum qui bulle à la bibliothèque / les études en passe d'être foirées / le couteau au fond du sac /

ksenia c'est cette fille qui te donne pas grand-chose mais qui va adorer te prendre des trucs. c'est la meuf qui a ce petit goût d'exotisme parce qu'elle peut te dire d'aller te faire mettre en russe, importée comme au chiot au ras de l'adolescence. c'est cette fille qui a toujours voulu traîner avec plus vieux qu'elle, plus bordélique qu'elle, plus détruits qu'elle. elle avait la cuillère d'or dans la bouche bercée à l'oligarchie russe, et elle prétendait le contraire. elle se plaisait à traîner avec ceux qui avaient pas grand-chose, sans leur dire la vérité. ça la faisait vibrer dans sa petite vie, avant d'en retourner dormir sur les billets de papa. provocante, à s'croire invincible, elle avait pas l'âge pour traîner en soirée mais elle criait en levant la main si quelqu'un lançait un jeu d'alcool. puis classique, papa s'est barré, non sans emmené le fric, et sa mère, qui a jamais trop su quoi faire de ses dix doigts, elle a eu du mal à tenir la barque - tenir la gamine c'était déjà mort depuis longtemps au moins. alors elle est passée de l'autre côté de la barrière. officiellement plus rien dans les poches. mais ça la perturbe pas, c'est son petit jeu, d'aller voler des fringues hors de prix, de se tenir avec la montre d'un mec. oui parce qu'elle adore raccourcir sa jupe, leur faire des propositions indécentes, attendre qu'ils aient le jean sur les chevilles pour se barrer avec leur portefeuille en riant. elle a pas la réputation propre mais elle en a approximativement rien à foutre.

du vrac son dernier mensonge you make me horny. faux. en fait elle était juste occupée à se demander s'il était du genre à dormir avec sa montre. s'il vivait encore chez papa et maman. s'il avait du cash sur lui. en fait il devait même l'ennuyer profondément mais l'attitude physique racontait une autre histoire. et elle adore ce genre de mensonge qui les humilie et les fait rager à chaque fois qu'elle lâche finalement la vérité brutale.  style vestimentaire aléatoirement dangereux, connait une amplitude astronomique qui va du pire au plus vulgaire, tout peut y passer sans aucune fiabilité, sans respect de la météo, sans respect de rien si ce n'est de ses lubies. jupes beaucoup trop courtes, ripped jeans, crop tops, roubes moulantes ou survêtement, ça dépend de l'heure, de la position des astres, de l'envie, ou de l'histoire qu'elle s'apprête à vendre, fille fauchée ou fille de bourges, fille facile ou fille coincée. même elle elle ne sait plus exactement où se situe le naturel sur l'échelle et elle en a rien à taper. le dernier plat raté n'a jamais été aperçu en cuisine que pour tenter des space cakes, qui étaient aussi comestibles qu'un bout de béton pourrait l'être. échec. un secret à garder écrire ici. son plus gros regret que tout le monde se focalise sur ses fesses dans la sextape sans jamais la féliciter pour sa souplesse, évidemment. ceci étant, plus de chance qu'un piano tombe du ciel qu'elle ne parvienne à évoquer le moindre regret concernant sa vie. elle la mène n'importe comment et se déclare parfaitement satisfaite de conséquences plus qu'aléatoires, toutes estampillées yolo avec fierté. son dernier achat elle a cessé d'acheter depuis qu'elle a réalisé qu'il était beaucoup plus drôle de voler. ça a commencé par des paquets de biscuits, puis le sucre a été abandonné au profit de l'alcool, de parfum, lingerie, fringues en tous genres.  sa relation à sa famille la paillasson maternelle vaut pour unique famille à l'heure actuelle et elle ne connait personne qui possède un véritable lien affectif avec un tapis. un défaut agaçant s'exprimer plus facilement avec son majeur qu'avec des phrases bien construites, à moins que ça ne soit le chewing gum qui traîne dans sa bouche et donne envie de lui arracher la langue lorsqu'elle joue outrageusement avec.

long short story
les glaçons teintent contre les parois du verre. une soirée qui se veut branché, ça se veut cosmopolite, avant-gardiste, underground, hype. autant de mots pour juste tenter d'attirer la jeunesse dorée de leiden, les faire balancer la carte gold. flamber le plan épargne-logement dans des verres trois fois trop cher pour choper des nanas qui ne prétendent pas se faire sauter pour moins de trois boissons et une flûte de champagne rosée. c'est écoeurant mais ça marche aussi bien les mouches avec le sucre, un agglomérat de corps, un océan aux vagues humaines qui bougent sous les lumières qui dansent. et ksenia, extérieure à l'ambiance, observe, verre nonchalamment à la main, la moue ennuyée. faut dire que la température est encore glaciale, le cerveau pas noyé, l'estomac trop creux de n'avoir encore rien bu. l'oeil se promène, cherche, réfléchit à qui fera l'affaire, qui saura la distraire, l'enrichir, la faire triper pour cinq minutes, une heure ou toute la nuit. ça se confond dans la masse, certains sentent l'héritage à plein nez, d'autres plus modestes, mais il est trop tôt dans la soirée pour que ça impacte la moindre décision. l'ambition sera attiré par le prix de la montre en fin de soirée, quand elle envisagera de rentrer chez elle, quand elle décidera de se payer son argent de poche sur le dos d'un crétin trop éméché pour regarder autre chose que ses seins. sourde à la musique elle se paye le luxe de s'inventer physionomiste, prétend analyser quiconque tombe sous sa pupille alors qu'elle ne juge qu'à la gueule qui l'arrête ou non. parfois elle accroche une seconde, puis continue son vagabondage, les omoplates appuyée contre le mur, lascive, cambrée pour ne rien cacher de sa silhouette à quiconque aurait envie de se nourrir de la vue. pas difficile, ksenia, jamais été sauvage à ce jeu-là, persuadée qu'elle détient forcément tous les passe-droits, toutes les cartes joker, qu'elle peut décider, à tout moment de se barrer et de les laisser plantés comme des cons sur leur faim. et lorsqu'enfin les iris s'arrêtent, ça tombe sur un type qui fait la gueule. le genre qui a l'air de détester la terre entière, le genre qu'on doit pouvoir trouver le nez qui pisse le sang, l'air hagard après s'être battu pour une raison à la con en sortie de soirée. le genre qui provoque toujours un crépitement tenu, paresseux, qui mordille les reins. le genre qui apporte rien que des emmerdes, dans les plans foireux, la rancune sur le bout des doigts, des ex à plus savoir quoi en foutre dans le répertoire. mais ça lui importe peu à ksenia parce qu'elle espère bien que s'il plie un genou ça sera plus pour remonter sa jupe et embrasser ses cuisses que lui promettre un mariage, un suv et deux gosses conçu au nouvel an. le genre qui a le goût de l'adrénaline, d'interdit, de défis aussi, parce qu'avec la gueule qu'il tire ça parait pas gagné de capter assez son attention pour qu'il satisfasse l'envie lancinante qu'il est en train de faire sinuer en elle. elle s'amuse, de l'eye contact pas lâché, joue avec sa langue et sa paille. provoque juste pour voir s'il va détourner la tête parce qu'il a katia qui lui a déjà fait douze crises de jalousie dans la journée ou qu'il est plutôt du genre à préférer la compagnie des nikolaj que des katia. ça serait dommage parce qu'elle se ferait pas prier s'amuser un peu avec lui avant de s'intéresser au contenu de ses poches. et paradoxalement, peu importe l'impatience éprouvée, elle patiente, étire le temps, parce qu'elle a toujours trouvé ça grisant de ne voir plus qu'un type, et rester loin. ne pas décrocher peu importe qui passe dans la vision périphérique. dialogue strictement corporel qu'elle maitrise sans doser la moindre discrétion ou pudeur stupide. elle vomit ces filles qui minaudent, accrochent puis jouent les prudes en baissant le nez, en remettant leurs cheveux derrière leur oreille et en rougissant comme si elles assumaient pas leur foutue envie que quelqu'un les épingle au mur entre tout de suite et la fin de soirée. des putains de vierges qui lui donnent envie de s'enfoncer deux doigts dans la gorge à chaque fois qu'elle les voit, de préférence en groupe pour prétendre à une sortie entre copines et certainement pas une partie de chasse, celles qui pensent que leur vie ressemble à un film où hugh grant va se battre avec colin firth pour les séduire et leur offrir un labrador à noël. et quand l'humeur capricieuse pèse trop lourd, quand elle a envie de connaître le timbre de sa vie elle donne l'impulsion pour décoller du mur. louvoie sans s'affoler, sans se presser, entre les personnes présentes pour le rejoindre. elle se passe des salutations jamais vraiment maitrisées et s'arroge le droit de lui prendre son verre des mains alors qu'elle a encore le sien à peine entamé. à la lumière des néons elle abandonne des yeux un instant pour le bord de verre, s'amuser à poser ses lèvres au même endroit que lui, boire une gorgée avant de lui rendre. "tu sais ce qu'on dit. qu'on peut lire les pensées de quelqu'un en buvant dans le même verre." et c'est tellement absurde et ridicule que ça la fait rire. tellement mauvais. mais si c'était vrai, il ne serait pas déçu, c'est tout ce que ça veut signifier. "c'est généralement plus intéressant si je suis trop occupée pour parler." honnête et véridique, mais pour l'instant elle se contente de sonder l'épaisseur de la glace.

happy hours
pseudo drake ter. type de personnage qui va te les briser.   plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile yolo.

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Valentijn Van Der Leeuw
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 14:51

Toi, j'ai hâte que tu t'invites dans mes poches stachemou
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Ksenia Belinski
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 14:58

nono
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Aart Elzevir
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 15:57

Ksenia Belinski a écrit:
statut civil wild as fuck. on raconte encore en rigolant la fois au collège où elle a planté sa fourchette dans la cuisse d'un garçon qui a voulu l'embrasser à la cantine parce qu'ils jouaient. pourtant elle veut bien jouer ksenia, mais elle a des règles qu'elle seule connait. allumeuse, rentre-dedans, vulgaire, et subitement chaste, moqueuse, occupée à rembarrer. on lui connait un célibat sauvage, loin de signifier abstinence mais clairement indemne de toutes ces âneries de sentiments qu'elle laisse volontiers aux cruches qui ont besoin que leur coeur palpite pour justifier qu'elles perdent leur culotte.  

WILD.
AS.
FUCK.

damn, elle vend du rêve.
et cette plume, on en parle ou pas ? toujours aussi parfaite drama heart
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Maaike Keere
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 16:01

shefaints

ce personnage vraiment  love u
je stan chacun de tes persos ça va plus, laisse moi au moins un peu de temps entre chaque inscription pour m'en remettre rip
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Ksenia Belinski
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 17:04

Aart Elzevir a écrit:
Ksenia Belinski a écrit:
statut civil wild as fuck. on raconte encore en rigolant la fois au collège où elle a planté sa fourchette dans la cuisse d'un garçon qui a voulu l'embrasser à la cantine parce qu'ils jouaient. pourtant elle veut bien jouer ksenia, mais elle a des règles qu'elle seule connait. allumeuse, rentre-dedans, vulgaire, et subitement chaste, moqueuse, occupée à rembarrer. on lui connait un célibat sauvage, loin de signifier abstinence mais clairement indemne de toutes ces âneries de sentiments qu'elle laisse volontiers aux cruches qui ont besoin que leur coeur palpite pour justifier qu'elles perdent leur culotte.  

WILD.
AS.
FUCK.

damn, elle vend du rêve.
et cette plume, on en parle ou pas ? toujours aussi parfaite drama heart

ksenia.
aart.
un chewing gum.
un bibliothèque.
grosse grosse histoire lick it up


big heart

Maaike Keere a écrit:
shefaints

ce personnage vraiment  love u
je stan chacun de tes persos ça va plus, laisse moi au moins un peu de temps entre chaque inscription pour m'en remettre rip


sois tranquille je m'arrête là eyes
beaucoup trop mims **
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Saul Lugaard
Saul Lugaard
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originaire de : leiden. gamin qui revient aux sources pour retrouver une mère indigne après des multiples coups de ceinture par son père à Avebury, en Angleterre.
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 19:47

nop nop nop

Spoiler:
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Ksenia Belinski
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 20:51

hell hey you
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Lieven Spieghell
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MessageSujet: Re: drunk words sober thoughts    drunk words sober thoughts  EmptySam 21 Nov - 23:17

ce personnage m'a l'air tellement intéressant, j'adore !! wut
rebienvenue pls big heart
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