nom jade elle n'est
van de lynden que de nom, la noblesse prestigieuse qui coule dans ses veines dont elle se contrefiche.
prénom dieu merci c'est maman qui a choisi son prénom,
jade pour rappeler ses origines anglaises écrasées par le sang néerlandais pompeux.
surnom les appellations vont et viennent, les baby coulants qui lui arrachent une grimace, les connasses sur lesquels elle ne se retourne pas, y'a que celui de sa mère qu'elle entend, un
kitten prononcé d'une voix douce.
âge les
vingt-et-uns ans atteints, l'âge de la liberté volée par le couteau sous la gorge.
emploi/occupation les
études de communication qu'elle continue à leiden, le rêve de journalisme politique dans un coin de la tête.
statut civil enfin
célibataire, le cœur libre de tous ceux qui essaient de s'y faire une place alors qu'ils ne la méritent pas.
orientation attirée par les problèmes, qu'ils sentent la
testostérone ou l'œstrogène.
vit avec un boulet amnésique,
son frère à peine rencontré qu'elle doit se coltiner pour leur bien à tous les deux apparemment.
situation financière habituée à la modestie, propulsée dans l'
outrageuse abondance.
son avis sur la confrérie la haine qui fait battre son coeur, le mépris sur le bout de la langue et l'indifférence dans le regard.
en fait partie oui
avatar clarissa muller
groupe van gogh
caractère— les cheveux ébouriffés ; l’accent britannique ; la force tranquille ; les livres comme échappatoire ; une sucette toujours à la bouche ; croit dur comme fer aux extraterrestres ; i don’t give a fuck ; la nuit comme royaume ; l’anxiété au coin du cœur ; l’honnêteté brutale ; la bibliothèque son jardin secret ; les relations toxiques tout ce qu’elle a connu ; le majeur levé ; les piercings aux oreilles ; les soupirs et les haussements d’épaules ; le sarcasme sur le bout de la langue ; agir avant réfléchir ; les ongles courts ; le paquet de clopes dans la poche
du vrac (tu peux choisir d'enlever certaines questions si elles ne t'intéressent pas, ou les remplacer par autre chose) son dernier mensonge "je m'en fous." sûrement celui qu'elle prononce d'une voix calme le plus, celui qui lui sert de barrière partout.
style vestimentaire les shorts, les jupes et les robes qu'elle arbore même en hiver, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel dans le placard pour accompagner des couleurs neutres.
le dernier plat raté les cookies qu'elle était en train de préparer qui ont fini brulées parce qu'elle était trop occupée à soigner son frère qui venait de tomber dans les escaliers.
un secret à garder le regard qu'elle porte sur
elle, bien trop fréquent et bien trop insistant. la confrérie qui ne ferait qu'une bouchée d'elle.
son plus gros regret s'être fait berner autant de fois par des mecs qui méritent même pas son regard.
son dernier achat un bel ordinateur tout neuf pour les cours, après avoir enfin abandonné la vieille machine qu'elle se traîne depuis des années. quitte à être soudainement devenue riche, autant que ça serve.
sa relation à sa famille sa seule vraie famille, c'est sa mère. les deux femmes très proches et complices, le cœur de jade qui se serre quand elle pense à sa pauvre maman qu'elle a laissé toute seule à londres. son géniteur, il compte pas, c'est juste un enfoiré qui a mérité de crever. et son demi-frère, elle sait pas trop quoi en penser. elle dit qu'elle s'en fout, mais elle peut pas insulter et abandonner un handicapé et garder sa conscience tranquille, alors elle s'occupe de lui du mieux qu'elle peut.
un défaut agaçant elle esquive tout jade, le regard morne et le haussement d'épaules pour décourager les plus courageux. et sinon, elle frappe sans penser aux conséquences.
long short storyleiden, le berceau qui peine à rester en mémoire. rien de précis, il n’y a plus que la peur qui reste, la violence qui s’abat sur la petite famille, l’ombre menaçante du paternel qui la surplombe. l’éclat des moulures dorées et des lustres qui fait briller les jolis bijoux de maman. mais jade elle a cette sale manie de s’accrocher à celle qu’elle aime par-dessus tout, tant et si bien que les manches longues glissent, que les revers de pantalon remontent et que ses yeux curieux sont attirés par ce qu’elle ne devrait pas voir. les teintes bleutées aperçues régulièrement, maman qui s’empresse de s’arranger avec un avertissement du regard pour sa fille. et puis un jour maman elle décide d’emmener jade manger une glace. rien d’inhabituel, puisque c’est leur petit rituel du samedi matin. sauf que ce jour-là, on est jeudi et qu’il fait nuit. et ce jour-là, maman elle est pas toute jolie avec son beau rouge à lèvres. ce jour-là, maman elle a du sang qui coule de ses lèvres, et son œil a une drôle de couleur. les yeux lourds de fatigue de s’être faite réveillée si hâtivement, jade elle s’endort dans la voiture, et elle voit pas qu’elles se rendent pas au parc habituel. elle voit pas que maman les conduit hors du pays, loin, très loin de papa. // le mascara qui barbouille ses joues alors que les larmes séchées tiraillent sa peau. encore un abruti qui s’est joué d’elle, encore un connard qui lui a fait espéré merveilles tout en la rabaissant constamment. pas assez jolie, pas assez intelligente, de toute façon elle ne trouvera jamais quelqu’un qui l’acceptera, comme lui il l’accepte. le regard dans le vide alors que la scène se rejoue dans son esprit. jade qui décide d’aller lui faire une surprise, qui traverse londres en bus pour le rejoindre chez lui. jade qui toque et qui se retrouve face à face avec une brune dénudée. jade qui aperçoit celui qu’elle aime derrière, nu, le regard empli de mépris. et jade qui fuit, qui se retrouve assise par terre dans une rue, la clope comme médicament. l’habitude amère, l’énième promesse de ne plus se faire avoir. mais la petite voix dans sa tête lui souffle qu’elle n’est bonne qu’à ça, qu’elle n’est attirée que par ça. // le coup de massue qui vient bousculer sa vie. jade et maman à londres, elles deux contre le monde. et puis des nouvelles non bienvenues, sous la forme d’une simple lettre. le message élégamment calligraphié qui l’invite à rejoindre une certaine confrérie néerlandaise, afin de continuer le règne familial. l’allure de la secte qui lui fait jeter l’enveloppe à la poubelle sans trop y réfléchir. mais elle apprend bientôt qu’on ne se débarrasse pas de cette confrérie comme ça jade. ils ne la lâchent pas, reviennent à la charge. c’est ces gens-là, qui lui apprennent la mort de celui de son paternel, un cancer fulgurant qui aurait enfin frappé celui qui le mérite. c’est ces gens-là qui lui apprennent aussi l’existence d’un demi-frère. fruit d’un second mariage, le digne fils héritier qui devait faire perdurer l’honneur de la famille. famille frappée par le drame, le fils à papa victime d’un accident de la route qui lui vole sa mémoire. l’amnésie qui l’empêche de rejoindre la confrérie, jade la seule descendante légitime. elle en a rien à faire de toutes ces histoires jade, sa vie est à londres, ses études aussi, et elle est pas intéressée par les problèmes de la haute néerlandaise. mais elle a pas le choix jade, quand les menaces à peine voilées font leur apparition, le couteau qui se glisse sous la gorge de maman.
happy hourspseudo azalée
type de personnage le pl de
@saskia de graeff as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? non c'est bon je suis assez débordée comme ça
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile ça dépend
je souhaite réserver : - Code:
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[i]clarissa muller (21/11)[/i]