nom buskirk et les ancêtres ecclésiastes dont il ne te reste plus que le vieil argent et les pêchés décadents en ribambelles d'indécence. dernier de la lignée qui s'excite de s'achever avec le plus exquis des pieds de nez qu'ai connu cette putride humanité :
toi.
prénom koenradd et jakobus comme de doublement de personnalité. comme des noms empruntés qui ne t'on jamais ressemblé. pas plus koen que kobus. ça fait grincer tes dents quand on s'y tord la langue sur ses étrangers, ou qu'on t'appel monsieur buskirk. eurk.
surnom kick. beaucoup de gens ne te connaissent que par ce diminutif de jakobus. tu préfères être un coup de pied en plein gueule qu'un semblant de prince qui satisfera jamais, jamais, jamais le parternel. surtout pas là.
âge trente-et-un ans pour graver son nom dans l'horreur et l'essence des cauchemars. chaque année de plus à laquelle tu t'accroches est comme une punition pour ce monde pourris.
emploi/occupation réalisateur, scénariste et désormais producteur de ''snuff'' movie. longs-métrages d'horreur mettant en scène des actions plus immorales et glauques les unes que les autres. attaché au genre snuff, mais qui s'en cache bien ou restent flous tant que c'est nécessaire. on flirte entre la limite du réel et de l'imaginaire, des scènes qui ont l'air beaucoup trop vraies et dégueulasses, sans qu'on sache vraiment et pourtant acclamés par le mainstream comme les maîtres de l'horreur nouveau-genre. mais vous avez rien inventé, deodato vous a tout appris. la controverse en 2020, c'est fancy.
statut civil s'en branles . tu vies, manges et baise comme un animal. t'as jamais compris ce besoin des humains de s'appartenir pour mieux se détruire. éternel célibataire, les sentiments sont trop pointus chez-toi contre les peaux de pêches et les cœurs fragiles. tu les avertis, pourtant, que tu vas les dévorer, les torturer et leur briser le coeur, mais elles écoutent pas, convaincues que les badboy cherchent juste une sauveuse. celle qui fera la différence. la blague.
orientation inclassable. une petite préférence pour les femmes parce qu'elles sont un tout inclus, mais le sexe c'est qu'une lutte de pouvoir pour toi. tu baises comme un chien, quand ça te dit et y a pas de règles.
vit avec tes deux chiennes. saar, celle qui bave beaucoup et détruit tous les autres canidés dans les combats de ruelle. puis y a ksenia, mais elle c'est une connasse, envahissante qui t'en fais baver avec sa petite chatte bien rasée. là jusqu'à ce que tu la foutes dehors ou que ce soit toi qui fiche ton camp. flemme de son caractère de tarée de merde.
situation financière vieil argent de nouveau riche. du fric comme une traînée qui se passe de générations en générations. celui qui t'a nourri en grandissant, te boude depuis le début de tes esclandres familiaux. revenue comme une justesse poétique, comme une bonne salope qui peut pas se passer de ta bite.
son avis sur la confrérie longtemps détestée, l'élite à l'égo exacerbée, la perfection jamais atteinte, par ton paternel exigée. récemment réconciliés, maintenant que t'en es, c'est une brillante idée, même si tu réponds aux questions d'un même haussement d'épaule que si on te demande comment l'éventrement de ton dernier film a été réalisé. fx, of courses, des mythes, of course.
en fait partie oui
avatar colson baker (machine gun kelly)
groupe van gogh
caractère— sauvage, versatile,
lawless, blasé, arrogant, féral,
létal, ambitieux, anarchiste, folie créatrice sanglante, étonnamment cultivé, débauché, désordonné, égoïste, fêtard, rancunier, franc, impulsif, sadique, brillant.
du vrac son dernier mensonge no sir, i have no idea who killed my dad and his bimbo.
style vestimentaire punk-rock, du cuir, du jeans, du noir, un éclat rosé. tu t'en fous, tu veux juste choquer, déstabiliser les gens confortables qui se croient saufs parce qu'ils entrent dans une case.
le dernier plat raté tous, tu ne cuisines pas toi. sinon ce serait céréales à la vodka pour déjeuner. tu saurais même pas comment faire cuire un oeuf sans le chercher sur youtube. t'es nourri au kraft des plateaux de tournage, fais très peu confiance à la cuisine de ksenia. louche as fuck qu'elle cuisine pour toi, elle.
un secret à garder tu sais pas exactement comment ton père est mort mais t'as une petite idée de qui l'as fait et on l'a pas démenti. en vrai, ça te dérange pas tant que ça, qu'il soit mort. t'as l'impression de pouvoir respirer pour la première fois, ton putain de tour d'être roi et pas que prince du faux-sang.
son plus gros regret premier crime que d'avoir tué ta mère, l'éventrant quand t'es sorti. pas vraiment ta faute par contre, son caillot de sang qui l'as tirée de l'autre côté. peut-être que si t'avais connu ta maman plutôt que les greluches de ton géniteur qui tentaient de la remplacer, qui duraient jamais plus que trois mois dans ses bras. peut-être que si t'avais eu une maman, t'aurais été différent, peut-être pas tout pété et dysfonctionnel. peut-être pire. ça fait partie du jeu.
son dernier achat moto harley davidson de l'année, iron 883 noire. petit bébé sur laquelle tu t'amuses à trop rouler pour te ''consoler''. le début de la dilapidation de l'héritage familial.
sa relation à sa famille reste plus de famille, donc y reste plus de relation. peut-être des cousins éloignés dans l'arbre généalogique qui n'ont rien a branlé de toi non plus.
un défaut agaçant lequel ne l'est pas ? sûrement ton impulsivité qui au quart de tour vient gâcher une soirée parce qu'on t'as mal regardé et que t'as décidé de te défouler. pas vraiment pas égo, juste parce que tu peux être ce bâtard-là. qu'on s'attend à ce que tu sois ce bâtard-là à frôler les limites.
long short storydring, dring, oui bonjour monsieur buskirk (cue grincement de dents), nous avons le malheur de vous annoncer le possible décès de votre paternel et bla bla bla.t'es encore défoncé de la veille quand t'atterris à la morgue. les gens se trompent, ça sent pas la mort ici, ça sent la
vieille mort qu'on tente de camoufler. on te montre sa bimbo en premier. ouais c'est elle, tu crois, tu sais pas, elles se ressemblent toutes les meufs refaites. le corps mort et pourtant les lèvres et la poitrine encore bien toutes gonflée de fausseté. sur l'autre table y a les deux morceaux de celui que t'as que récemment appelé papa. il se ressemble pas comme ça. enfin c'est lui, mais c'est pas lui. t'as un geste comme pour toucher à sa tête, mais on t'arrête parce que son corps est sous investigation. oui, c'est bien lui. ton père est mort, lui et sa catin, empoisonnés et décapités post-mortem.
t'es sensé être en deuil.
mes condoléances que dit l'avocat de
papa. succession, héritage, actifs, parts, tu comprends pas son jargon. tu devrais pas lui faire confiance, parce que c'est un requin, mais tu le fais, lui fera payer s'il te la fait à l'envers. parce que ton unique parent était avocat et que maintenant c'est toi qui te retrouves avec une firme. t'auras rien à faire, juste à prendre les décisions majeures. ça pourrait t'être utile pour tes films quand même, des avocats. toi qui après une année forcée en droit, avait craché sur tout ça, teint tes cheveux blonds, percé ton nez, commencé à te tatouer et fuyant poursuivre ton rêve de réaliser des horreurs. retournant à amsterdam où t'es né pour n'y passer qu'une année. retour à l'envers, ça faisait juste un peu plus qu'un an que ton père t'avais ramené à leiden. pour faire la paix, pour te célébrer comme le reste de la critique t'avais nommé ''génie du gore'' là où d'autres te traitaient de grand malade. tu sais pas lesquels avait le plus raison. sûrement les derniers.
gérez-ça, laissez-moi. oui, oui, monsieur buskirk. (cue nausée qu'on se passera d'expliquer) à peine libéré, c'est les policiers qui viennent t'appréhender.
monsieur buskirk (cue mâchoire serrée et retenue d'exploser) c'est à propos du décès de votre père, on aimerait vous parler.et par parler, ils voulaient dire
interroger. bien entendu que t'es un suspect, sûrement même pour ça qu'ils l'ont décapité, de la bonne violence pour te faire accuser. on parle de tes films, on parle aussi de ton ajout assez récent à son testament. tu vas péter un câble avec leurs merdes juridiques de cravates trop serrées et leurs tronches d'envie de chier. l'avocat de papa se mêle à ça, pas assez de preuves pour t'accuser, tu finis pas être relâché, mais t'es quand même sur la liste des suspects. heureusement que le déni c'est une phase normale du deuil, pas envie qu'on fouille dans ta tête encore, comme quand le géniteur t'as condamné avec un paquet de diagnostic et des médocs que t'as tous oubliés.
pas le droit de sortir du pays, bla bla bla.
on se reverra, ouais, ouais, c'est ça. t'as des fantasmes de violence pour chacune de leurs petites tronches d'imbéciles. des toiles immaculées que tu remplierais bien de leurs éclats de vie.
bon, c'est bon, maintenant on va te laisser ? de sa grosse maison on te donne les clés, tu vas pouvoir aller te bourrer, te défoncer, probablement baiser, t'oublier, oublier la pression de l'autorité que t'arrives pas à supporter.
dring dring (bis). bon c'est quoi encore ?
monsieur buskirk (cue frisson parce que cette fois, la voix au bout du fil donne un peu froid dans le dos) on aimerait vous rencontrer de nouveau concernant la succession de votre père. c'était pas déjà fait la succession ? ah non, pas celle là. pas celle que tu crois. tu te souviens des gars un peu spéciaux que t'avais rencontré qu'une petite fois, que tu reverrais après la mort de ton père pour prendre sa place dans la confrérie parce que t'es son héritier et que tes abominations sur l'écran argenté t'ont valu des ovations qui te secouent de rires sombres. tu pensais pas que ce serait de si tôt. et c'est à condition, bien entendu, que tu sois aquité du meurtre de ton père. ils ont pas trouvés pourtant, sont partis sur la piste d'un opposant judiciaire, ou un ancien client qui est allé en prison malgré sa défense ? ils sont cutes les petits détectives, à essayer et essayer. toi t'as tranquillement continué à prendre la place que t'avais pas volée, à faire saigner et torturer pour les requins affamés qui disent que c'est grandiose. toi, tu trouves ça grandiose que quand de l'hémoglobine, le vrai se mélange au faux, quand vous abusez un peu, ou juste assez. oups.
happy hourspseudo lanomalie (rk)
type de personnage inventé
as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? oui pourquoi pas
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile hyperactive, mais ça dépend toujours.
je souhaite réserver : - Code:
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[i]colson baker (23-11-2020)[/i]