nom un patronyme venu d’ailleurs sonnant la nouveauté qui attire ceux qui veulent qu’on leur chuchote au creux de l'oreille quelques mots de français. Un nom porté comme un blason depuis qu’elle l’a re doré par sa famille qu’elle a délaissé.
De Saint-Amant, ironie de cette amante maudite qui ne trouve d'intérêt que dans un cœur sincère, reste de l’apprentissage noble de la vie et de son sens qu’on lui a inculqué.
prénom Un nom qui sonne comme l’un des minerais les plus désirés mais qui s’inspire de la lumière selon l’hébreux.
Lior reflète une douceur quand elle est prononcé de la bouche de ceux qui le peuvent, beaucoup encore aujourd’hui l'écorchement de par leur accent.
surnom elle n’est pas friande des surnoms, son prénom étant déjà court pourquoi faire plus ? Cependant on la nommait “
la française” ou “
l’artiste” quand elle venait d’arriver sûrement que retenir son prénom les peiner trop, maintenant quelques uns osent encore pour se moquer peu méchamment.
âge sa jeunesse est noyée par la vie active qu’elle mène, du haut de ses
vingt deux années elle a accompli plus que certains ne le feront en une vie. le temps passe pourtant trop vite pour le comprendre alors elle fragmente ses vies et les relie par ce même briquet qui allume chacune de ses cigarettes.
emploi/occupation sa salle de cours ne la voit pas souvent pourtant elle applique soigneusement tout ce qu’elle y apprend. elle est son propre commerce qu’elle veut étendre, l’europe presque déjà conquise le monde le sera avant que ne se vide le sablier. pour l’etat elle est
étudiante en commerce international, pour ceux qui fréquentent ce monde c’est déjà une
artiste contemporaine à la réussite inattendue.
statut civil elle a connu quelques homme mais aucun ne partage sa vie actuellement.
orientation elle est la seule femme qu’elle convoite,
les hommes peuvent esperer séduire ce coeur qui n’a jamais connu la liberté de se laisser aller, émotions frustrés, retenues elle refuse de relâcher cette réconnfortante torutre pour n’importe qui.
vit avec arrivée
seule elle le demeure, quelques plantes dont elle prend soin vivent avec elle depuis quelques mois. son regard est quelques fois absorbé par la chorégraphie que lui offre ses poissons dans leur bocal, la douceur dont leurs nageoires se mouvent, la régularité de leur respiration et la lenteur de chaque déplacement se faisant dans une connaissance parfaite de leur environnement malgré la découverte perpétuelle de ce dernier.
situation financière récemment
révoltante, issue d’une famille modeste peu aurait pu prédire que le prix de ses peintures atteigne une telle somme, elle goûte enfin à la prospérité d’une richesse issue de son talent. Elle a su saisir chaque opportunités pour être exposée, reconnue jusqu'à choisir après le lycée choisir le commerce apprenant ainsi à se vendre dans toute l'Europe.
son avis sur la confrérie elle n’a pas tout de suite compris l’importance de la confrérie, pensant à un club elle a accepté leur invitation. certes beaucoup en parlait, en bien ou en mal, mais elle n’en avait que faire jusqu’à rencontrer ses membres, comprendre leur ambition et partager leur rythme de vie. depuis elle les considère comme
sa seconde famille.
en fait partie oui
avatar kristina bazan
groupe van gogh.
caractèreâme révoltée qui sait s'exprimer
dont la confiance est surjouée
méprisée en tant que femme vénale
attirée par substances illégales
hautaine pour sauver sa fierté
dont le coeur sensible reste caché
et qui se montre dans sa passion
facilement avec des champignons
raisonnable ne vit pas sans rechutes
une faible femme aux jolis mots bruts
laissant sa peau de bleu se tachetée
personne aimée peut être moins en vrai
sauf dans les bras de l'homme désiré
échange sans suite, nuit cachetée
du vrac son dernier mensonge ça ne fait pas partie de ses habitudes, elle est plutôt honnête Lior. elle a dû raconter à ses parents que ses cours se passaient parfaitement bien en omettant ses soucis d’assiduité, ça compte comme un mensonge, non ?
style vestimentaire une gamme de couleur limitée, toujours assez foncée. elle aime se sentir libre avec des vêtements courts, à l’aise dans ce qui la révèle et confortable cachée dans l’oversize. C’est une femme qui affirme être sexy uniquement pour elle même.
le dernier plat raté elle s’est imaginée capable de se préparer des sushis mais entre le riz pas assez cuit, la garniture trop audacieuse et l’assemblage catastrophique elle a dû se résoudre à en commander.
un secret à garder consommatrice surprise à deux fois pendant des soirées en france, son nom est annoté là où elle ne voudrait pas.
son plus gros regret elle s’en est longtemps voulu, encore un peu aujourd’hui, se taire n'aurait pas dû être une option et encore moins la bonne. cet homme a posé la main sur elle, sa docilité lui a valu une faveur qui a aidé sa carrière à se lancer, elle est restée tétanisée et a laissé ce connard s’en sortir. elle n’a rien dit, lui travaille toujours, ballade sûrement encore ses mains sur de pauvres femmes.
son dernier achat une bouteille de vin rouge qu’elle a dégusté au goulot dans son appartement en travaillant, la musique emplissant ce lieu qui l'accueille surnommé “l’atelier”.
sa relation à sa famille elle les aime, c’est incontestable mais elle a su construire sa vie sans eux, loin d’eux ce qui fait qu’elle les oublie un peu trop souvent. on ne peut plus compter le nombre de fois où elle les a laissés sur vu ou a dû décliner un appel.
un défaut agaçant elle accepte très peu les critiques, prête à démontrer qu’elle a raison par tous les moyens quand elle en est convaincu, elle peut s'avouer vaincu, mais préfèrera souvent le déni et conclure sur “on peut changer de sujet avant que je ne te déteste?”
long short story15.30h, interview pour l’exposition d’automne
Galerie Templon, rue Veydt 13A, 1060 Bruxelles, Belgique
Plateau 2, salle 4
"
Mademoiselle, veuillez me suivre pour votre rendez-vous.” annonça une femme tout de noir vêtu laissant son badge blanc en seule lumière.
La brune a pris le soin d'arriver en avance pour s'assurer que chacune de ses peintures soit au mieux installées sur les murs de la galerie. Elle avait oscillé entre chance et détermination pour se frayer un chemin dans ce monde qui n'accueille plus. Aujourd’hui elle a une interview pour la galerie qui la reçoit cette saison, parler d’elle n’est pas son fort c’est pourquoi ses yeux sont plus rougis qu’en temps normal.
C’est ainsi qu’un léger sourire au lèvres elle prend le pas à la suite la femme l’ayant interpellé jusqu’à la fameuse salle quatre. La porte s’ouvre sur un homme d’âge mûr qui lui serre la main avec une fermeté qui la surprend. Il lui intime alors d’entrer et s'assoir sur une chaise à la hauteur de la galerie; prétentieuse. Le regard de la brune croise celui de l’homme alors qu’il pose un enregistreur sur la table qui les sépare. N’importe qui aurait pu ressentir la tension des générations, l’une ne voulait pas accorder son respect à un homme si superficiel aux valeurs dépassés et l’autre ne céderait pas l'accréditation d’artiste à une femme si jeune, sans expérience dont toute la gloire ne semble pas méritée.
“
Bien, bien, bien.. Alors Lior comment expliquez vous le succès de votre peinture ?-
Je pense que les personnes qui apprécient mon travail ont besoin d’une catharsis, de libérer des émotions qui ne sont plus avouables. J’hybride l’idée du désir charnel, du besoin de corps à celle d’une fascination morbide. La douceur du traitement contraste avec la figure présentée, tiraille un esprit déjà torturé pour lui permettre une libération. Ma peinture attire autant qu’elle repousse le regard, elle nourrit ce besoin vicieux qu’on a de regarder ce qu’on ne devrait pas, c’est un soulagement.”
La parole douce et sensée apaisée par les stupéfiants pris auparavant lui donne une assurance qui lui va à ravir. Excepté du point de vue du vieux journaliste au sourire carnassier qui n'accepte ni cette pensée ni le fait qu’elle soit publiquement exprimée. Mais voilà à ses yeux un des problèmes de l’art contemporain, la nouvelle génération a décidé de détruire son sens.
happy hourspseudo auxence ou may.
type de personnage inventé.
as-tu envie qu'on lance un rp avec toi pour aider à l'intégration ? comment refusé une telle proposition ?
plutôt hyperactive/hyperactif du clavier ou tranquille emile je tape au grès de mon emploi du temps.
je souhaite réserver : - Code:
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[i]kristina bazan (12.11.20)[/i]