you torture saints with a single glance (diwa)

c'est surement ça, qui est le plus thrillant avec diwa. de ne pas savoir. ne pas savoir quand la poupée dira oui et quand elle dira non. quand elle te laissera repousser ses barrières et quand elle te laissera les éclater dans un soupir. ça te met hors de toi, brûle ton ventre, tes joues, tes lèvres pendues vers les siennes qui attendent sa réponse, le sourire qui ne part pas. parce que tu l'as fait boire, que tu l'as embrassée, que tu l'as convaincue de rester dormir, puis tu l'as convaincue de dormir avec toi, dans ton lit, à même ton propre corps. parce que tu pousses le vice, encore. une dernière fois ? ton bassin dur te promets que non. et il se frustre que tu n'écoutes pas que lui, pour une fois, que tu le fasses autant souffrir. et le diable gagne encore. le diable gagne toujours. la pureté qui dit oui, à laisser tes lèvres rendent sa peau grise. tes prunelles qui retrouvent les siennes quand elle accepte à une condition. le bout de ton souffle qui attend. le ventre qui se tord, parce qu'elle sait pas, que c'est une très mauvaise idée même avec son interdiction. "promis..." que tu viens perdre contre ses lèvres en l'embrassant. parce que tu sais que t'as pas besoin de lui arracher ses sous-vêtements pour quand même faire rougir tous ses saints et les torturer sublimement. le baiser que tu prolonges jusqu'à sentir que son corps se détend de nouveau, avant de recommencer. la bouche qui coule sur son menton, descend son œsophage, sur sa poitrine en baisers, retrace le rebord de soutien-gorge avant d'aller donner le même amour à l'autre sein, laissant les traces rosies et trempées de ton passage. le tour de son ventre, les lèvres qui y courent un peu n'importe comment, en diagonale, puis tout droit, embrassant son nombril, puis ses hanches. suivant la ligne de sa culotte trop lentement, trop langoureusement, les lèvres et la langue qui s'y mélangent, les dents qui aimeraient bien s'accrocher dans la dentelle. mais pas aujourd'hui, hein ? les baisers glissent sur le tissus, mais continuent vers sa cuisse, ralentissent à l'intérieur de celle-ci, la peau trop tendre pour votre bien à tous les deux. les baisers qui dégringolent le long de sa jambe, jusqu'à la pointe de son pied. tes lèvres qui la lâchent, seulement pour embrasser l'autre pied, s'attarder à lui mordiller un orteil en rigolant avant de reprendre l'ascension de la deuxième jambe. jusqu'à l'intérieur de la deuxième cuisse, jusqu'au rebord de la damnée culotte. la tête perdue entre ses cuisses, les lèvres qui se lèvent simplement pour mieux venir taquiner le tissus maudit. ton souffle trop brulant qui menace sa virginité. et même si tu respectes les règles, tu ne peux pas résister. à embrasser son sexe caché sous le tissus. juste un petit bisou. qui devient bien pire, les lèvres qui pressent plus fort, la langue qui se mélange à la caresse qui s'approfondit, à lécher et aspirer le tissus. qui cherche à ce que ce ne soit pas que l'eau du jacc qui vienne mouiller tes lèvres.

elle est pas sûre que ce soit l'idée du siècle, d'accepter, y a cette petite voix en elle qui essaie de reprendre le dessus, de lui faire comprendre qu'il n'est pas encore trop tard, qu'elle peut dire non, si elle veut, qu'elle doit le faire. mais ça tourne trop dans sa tête, tout n'est que doute et confusion, elle arrive pas à y voir claire. incapable de penser rationnellement entre l'alcool et la proximité de son corps, son visage si proche alors qu'il attends sa condition. promesse de respecter son choix, et elle se doute pas une seule seconde qu'elle vient de commettre une grossière erreur, yet again. trop ingénue pour s'imaginer toutes les possibilités qu'elle lui offre, toutes les limites qu'elle pensait imposer et qu'elle envoie voler en éclat sans s'en rendre compte. mais avant même que sa cervelle se mette à fonctionner correctement suffisamment longtemps pour qu'elle puisse revenir en arrière, il a déjà retrouvé ses lèvres des siennes, dans un baiser d'une douceur dans laquelle elle se perd, douceur qui vient faire fondre ses réticences alors qu'elle recommence à se détendre. suffisamment pour qu'il y voie un signal, sorte de feu vert inconscient alors qu'il quitte ses lèvres pour se perdre dans son cou, reprend sa course où il l'avait laissé, à même la naissance de ses seins. ses lèvres qui jouent avec les limites de sa brassière, avant de s'aventurer sur le brasier qui a remplacé son ventre, lui arrache des soupirs qu'elle ne contrôle plus alors qu'elle se laisse faire, immobile, le sang qui bouille dans les veines alors qu'il glisse sur ses hanches, s'attarde sur le bord du boxer. et elle sait plus très bien, si elle a envie de le laisser continuer alors que les lèvres s'aventurent sur le galbe de la cuisse, s'éloigne de la zone interdite. semblant de répit alors qu'elle tente de calmer les battements de son coeur, qui cogne dans ses oreilles, assourdissant. les prunelles qui coulent vers lui un instant alors qu'il passe a l'autre jambe, lèvre mordue alors qu'il embrasse l'intérieur de la cuisse. elle s'attend à ce qu'il remonte, suive la ligne du boxer, comme il l'a fait. mais non. « qu'est-ce que... » la question qui se perd dans un gémissement alors que ses lèvres s'attarde sur le tissu, entre ses jambes, et elle aurait jamais cru pouvoir ressentir ça. terrassée par l'onde de plaisir qui la traverse, parce qu'elle a jamais ressenti ce genre de sensation, qu'elle découvre, qu'elle contrôle rien. ni ses mains qui se serre sur les draps. ni ses yeux qui se ferment alors que sa voix la trahit. encore moins ce mouvement de bassin alors que ses cuisses de décalent, comme pour lui laisser la place. « kick... » son prénom qui lui échappe alors qu'elle est complètement submergée par ce flot qui iradie de ce point précis où ses lèvres s'activent. elle sait pas combien de temps elle reste perdue, son corps suivant ses mouvements malgré elle, avant qu'une sonnette d'alarme viennent lui vriller les tympans. « kick, arrête, s'il te plaît je... » ses cordes vocales qui la trahissent alors que sa plainte vibre du désir qu'elle éprouve, elle rassemble le peu de force qui lui reste pour ériger un semblant de remparts. « ... si tu continue, je... je sais pas si... tu... je tiendrais pas... je veux pas craquer. »

l'idée, toi, tu la trouves cruellement bonne. une règle de plus à tordre pour jouer avec, à même ta bouche. les interdits que t'embrasses avec la langue, parce que le flirt est depuis longtemps dépassé. chacunes de ses plaintes avalées, mais quand tu glisses là où tu devrais pas, c'est pire, c'est mieux. ça donne vachement faim. quand elle se demande ce qu'il se passe puis que tu lui arraches un gémissement. que tu pourrais sourire contre son boxer si t'étais pas aussi occupé avec ta bouche, à lui faire perdre ce qu'il lui reste de conscience. ses mains qui tordent tes draps, qui ne font rien pour l'aider, te calmer, te convaincre de pas l'achever. ses cuisses qui s'ouvrent, ses hanches qui roulent, ton prénom qui s'étrangle dans le soubresaut de plaisir. t'es pas trop habitué de l'entendre comme ça, vraiment pas. c'est moins bon la deuxième fois, quand la panique s'y glisse et vient serrer ton ventre. parce que quand une fille te dit d'arrêter, t'es sensé le faire. la tête qui se relève d'entre ses cuisses pour la regarder, pendant qu'elle s'explique. parce qu'elle ne tiendra pas, si tu continues ? bordel. y'a rien qui te tentes plus, que de l'entendre souffrir de désir et te supplier de lui prendre cette virginité que tu ne prendras pas. cette virginité que tu veux simplement embrasser, pour ce soir. pour une fois que t'as pas mentis, que tu veux pas juste la baiser salement pour la jeter. parce que c'est ce qui arriverait, probablement. la laissant ramper jusqu'à chez-elle en laissant sa première fois sanglante dans ton lit. y'a ta main qui remonte sur son ventre pour la calmer, tes lèvres encore trempées qui cherchent à la rassurer. " shhh... j'te laisserais pas craquer. sit back, relax, enjoy. " que tu susurres en poussant doucement son ventre pour qu'elle retrouve ton matelas. parce que toi, t'y retournes, pour mieux, pour pire, les doigts enroulés aux cuisses. pas habitué à rendre les filles folles comme ça, et pourtant tu sais comment. les lèvres qui retournent malmener le tissus, si bien qu'il en vient à ne plus trop bien tenir son rempart. plus en plus de sa peau rosée et chaude qui s'offre à tes lèvres. le loisir de la goûter, la langue qui glisse dans son miel au risque de t'en remplir le menton, la bouche qui remonte pour mieux torturer le mont de chair que personne a encore escaladé, peut-être même pas elle. tu sais pas, c'est pas grave. tu lui fais découvrir tout ça, des baisers contre son coeur qui bat et qui ne sont plus du tout sage. et pourtant t'as brisé aucune de tes promesses. bend. not broken. et tu peux pas t'arrêter, y prend fucking goût. tu veux juste la faire trembler, tu veux juste l'épuiser. que malgré l'alcool, elle puisse s'en souvenir.

elle sait plus où elle en est alors que tout se mélange dans sa tête. la limite qu'elle tente de poser, parce qu'elle sait pas, si elle sera capable de tenir, elle sait pas, si elle saura résister, lui résister, s'il continue comme ça, et ça la terrifie autant que ça la fascine. parce qu'elle peut pas nier qu'elle adore ça, qu'elle en veut encore, de cette sensation qui lui traverse le corps a chacun de ses mouvements de lèvres. sa voix est faible, trop faible, et quand il la regarde de là où il est, elle se sent encore plus faiblir, l'impression de n'être qu'un faible papillon dansant dangereusement devant la lumière. alors quand il vient glisser sa main sur son ventre, qu'il la rassure, lui assure que lui, ne la laissera pas craquer, elle cède, once again. fini par lui accorder sa confiance, trop facilement, mais trop naïve pour s'en rendre compte. parce qu'il a toujours tenu parole jusque là, alors pourquoi ça changerait ? logique imparable que la voix du démon vient appuyer alors qu'elle se laisse lentement retomber sur le matelas, d'abord hésitante, puis vite submergée par le plaisir qui l'envahit alors qu'il reprend ses baisers où il s'était arrêté. d'abord lentement, avant que ses mouvements ne s'intensifie, que ses hanches lui échappent à nouveau alors qu'elle plient ses genoux, les cuisses s'ouvrant un peu plus, sans qu'elle ne puisse contrôler quoi que ce soit. parce qu'elle a jamais ressenti ça, découvre complètement ce qu'elle a à peine entrevue dans les films. vierge de toute relation avec un homme, mais aussi de tout plaisir physique, parce que ça se fait pas, c'est tabou dans sa famille, de faire ça en solo, c'est pas naturel. perversion qu'elle n'aurait jamais eu l'idée de tenter, et pas seulement parce qu'elle n'avait aucune intimité chez ses parents. alors toutes ces émotions qui la traverse, ce plaisir auquel elle succombe, se laisse aller alors qu'elle arrive pas à retenir les gémissements qui lui échappe, ça lui est complètement inconnu. elle a l'impression de perdre la tête alors qu'elle se tord à chaque mouvement de langue, son prénom qui lui échappe plus d'une fois jusqu'à ce que le souffle se brise quand un puissant frisson parcourt chacun de ses membres. le coeur qui pulse à lui en exploser la cage thoracique, alors qu'elle passe ses mains sur son visage, pas tout a fait certaine de bien réaliser ce qu'elle vient de vivre, d'avoir vraiment conscience de ce qu'il vient de se passer. gamine qui se sent complètement vidée de toute forme d'énergie alors que son souffle en tremble encore.

tu savais pas trop non plus, que tu pouvais avoir faim comme ça, d'elle, de quelqu'un tout simplement. faim à t'en tordre le ventre, faim à trouver ton plaisir à lui en arracher à elle. qu'en lui en arrachant à elle. les lèvres qui s'apprennent douces avant de se découvrir affamées. la langue qui s'adresse à faire mieux que juste dire des belles conneries bien emballées. t'avales. chacuns de ses gémissements, tu les avales, grondant toi-même contre la peau tendre qui vient doucement tirer sur les teintes pourpres au fil de tes baisers. complètement prise au piège, juste bonne à chialer ton nom et se tordre contre la prison de tes lippes. lui arrachant son plaisir sans le moindre répit, jusqu'à lui arrache le premier tremblement de corps de sa vie. les cuisses qui frissonnent sans se contrôler et t'aspires ce qu'il lui reste de plaisir. un dernier baiser sur le bouton de rose rendu trop sensible par tes soins, la main qui y remonte dans une ultime caresse qui ne brise rien, ne fait que chatouiller l'amont de chair en cercles pour la faire trembler plus fort, sinon d'exploser la règle idiote de n'y mettre que les lèvres. le sourire trempé, la langue vedette du spectacle qui se tire pour repasser sur ton menton.  déguisé en bébé chien, la tête qui se penche doucement sur le côté en observant son cadavre, en retenant tout, encore. parce que ce serait trop facile, d'abuser d'elle maintenant. sauf que t'es pas certain qu'elle te le pardonnerait et que tout tes beaux plans tomberaient à l'eau. elles ne pouvaient pas toutes êtres des ksenia. aucune pitié quand tu lui demandes. " encore ? " si elle ne savait pas encore que t'étais le diable, elle devrait en avoir un aperçu là, non ? le sourire de démon qui s'étire et les flammes qui brillent dans le regard.

tremblements qui la parcourt alors qu'il glisse sa main là où elle est encore trop sensible, soupire entre douleur et plaisir alors qu'elle se passe les mains sur le visage. elle comprends plus rien, elle sait plus quoi penser, plus quoi faire alors que son corps est encore engourdi par le tsunami qui vient de l'engloutir. pas sûre d'être capable de s'en remettre un jour alors que son corps lui paraît soudain si faible entre les mains de kick. et en même temps, elle pourrait y prendre goût, à ce genre de câlins, comme il dit. elle pourrait facilement s'y habituer, finir par les chercher elle-même, juste pour sentir cette vague à nouveau, pour sentir cette chaleur iradier de son corps, ce plaisir qui vient lui noyer le cerveau, lui faire oublier tout. et c'est peut-être bien ça, qui la terrifie le plus. cette perte de contrôle, cette abandon totale de son corps à quelqu'un qu'elle connait à peine. jamais elle aurait fait ça avant, jamais ça lui serait venu a l'idée de dormir dans le lit d'un quasi inconnu, de le laisser parcourir son corps de ses lèvres. et pourtant, elle est là, encore essoufflée, le coeur battant a tout rompre, les mains sur le visage alors qu'elle essaie de retrouver un semblant de contenance. sauf que y a sa question qui résonne dans le silence d'après tempête, vient la tirer de ses réflexions pour la ramener à la réalité. « hein ?! » les doigts qui s'entrouvrent au niveau des yeux pour voir s'il se fout d'elle ou s'il est sérieux. et damn, qu'il pourrait la faire craquer avec ce sourire, quand il la regarde comme ça. et elle est pas loin de céder. sauf que la première vague l'a épuisée et qu'elle est pas sûre de pouvoir survivre à une seconde, trop peur que le coeur rate un battement ou explose. la tête qui hoche de droite et de gauche, pour éviter toute tentation de flancher. « hindi. euh, j'veux dire, non, ça va, c'est... pfiou, c'est déjà beaucoup pour ce soir, je crois pas que je tiendrais le coup sinon... » léger rire gêné alors qu'elle se redresse légèrement, comme pour l'empêcher d'essayer de la convaincre du contraire, parce qu'elle sait pas si elle aura la force ou même l'envie de le repousser. la main qui vient passer dans les cheveux avant que les doigts ne viennent se poser sur ses lèvres, alors qu'elle reste là, à le regarder, se demande si elle est en train de rêver, s'ils sont bien dans le monde réel, ou s'ils sont passés dans une autre dimension sans qu'elle ne s'en aperçoive.

c'est pas habituel du tout, cette tendresse. des envies de claquer du bout de ta main son clitoris trop sensible, pour l'entendre couiner comme beaucoup trop d'autre avant elle, dans ce même lit. mais c'est du déjà fait, déjà vu, déjà goûté. tu prends ton plaisir à la faire trembler et gémir dans une énième caresse de ta main, en lui proposant un autre tour pour t'assurer qu'elle n'aille nulle part, qu'elle soit accrochée, à toi, à tes lèvres, à tout ce que tu lui promets. le sourire de diable entre ses cuisses qui se fout bien du petit jesus qui brille encore entre ses seins. c'est qu'elle est fucking belle, avec ses joues dévorées par le sang, ses yeux teintés par l'alcool et l'orgasme. elle se surprend de ta demande et ça te fais sourire plus fort, elle dit non la poupée. fait non de la tête, dit qu'elle ne tiendra pas le coup. et t'as jamais promis, toi, qu'elle tiendrait le coup. surtout quand t'es encore là, encore ses cuisses, qu'elle passe ses doigts dans tes cheveux, puis sur tes lèvres encore trempées d'elle. son pouce que t'embrasses, le glissant un moment dans ta bouche en relevant tes yeux vers elle. "non ? " que le diable la tente en recrachant le doigt, simplement pour mieux venir y couler la langue. " juste une dernière fois. tu vas voir, tu vas dormir comme une reine après, j'te jures. " que t'insistes, du mal à prendre non pour réponse. ta bouche qui se faufile déjà à glisser entre ses mains pour venir embrasser le mont de chaire trop fragile encore gonflé de par tes lèvres. juste un petit baiser, avant que ta tête se relève vers la sienne, un sourire tendre face à ses lèvres entrouvertes. "please baby..." que t'abuses encore, fucking serpent qui veut lui avaler son âme à même sa chatte, parce que tant qu'à dormir, tu préfères avoir le plaisir de l'avoir épuisée quand elle s'endormira contre ton torse. au moins ça te tiendras tranquille pour le reste de la nuit, maybe.

y a sa bouche autour de son doigt qui vient déjà semer le trouble dans son esprit, et comme si ça suffisait pas, faut qu'il vienne appuyer le tout d'un non ? avec sa gueule d'ange, son sourire qui vient brouiller toutes les cartes. et elle sait plus, diwa, si elle a envie de dire non ou pas. elle sent qu'elle doit, se rappelle vaguement qu'elle s'était dit qu'elle ne céderait pas, qu'elle résisterait de peur de trop en donner d'un coup. sauf qu'il insiste, et qu'elle sait pas combien de temps elle saura tenir, rester fidèle au peu de principe qui lui reste une fois ivre d'alcool et de lui. surtout lorsqu'il lui échappe, vient à nouveau glisser ses lèvres entre ses jambes. c'est bref, mais ça suffit à réveiller les frissons qu'elle venait à peine de réussir à contrôler, à brouiller un peu plus les cartes alors qu'elle sent ses muscles se tendre, entre attente et défense. râle désespéré qui lui échappe alors qu'elle vient poser ses coudes sur ses genoux, se passe les mains dans les cheveux pour essayer de remettre de l'ordre dans son cerveau sans pour autant refermer les cuisses. tout n'est que contradictions entre son corps et son esprit. « tu m'expliques comment je suis censée résister si tu fais ça, que tu me regardes comme ça ? » plus une plainte qu'un reproche alors qu'elle laisse aller un soupir, vient planter son regard dans le sien, à la recherche de quoi, elle ne sait pas. quelque chose, un truc auquel se raccrocher, de quoi réussir à dire non. sauf qu'elle y voit tout le contraire. les yeux qui se plissent un instant alors qu'elle se pince les lèvres. « c'est toi, qui va me rendre dingue. » et pas l'inverse, comme il le laissait entendre dans le jacuzzi. elle vient croiser ses bras sur sa poitrine, essaie de trouver un moyen de négocier, sauf que le souvenir du frisson qu'elle vient de vivre s'invite à nouveau dans son esprit, vient achever ses dernières résistances alors qu'elle vient se mordre la lèvre, les prunelles toujours fixées dans les siennes, comme incapable de s'en détacher. « tu... tu me promets qu'après, on dort ? et que t'essaieras pas de me convaincre encore, hein ? parce que je... enfin tu... tu vas m'achever, sinon. »

t'es grave et elle ne s'en rend pas compte non plus. parce que tu joue déjà trop dans sa tête et que ça t'amuses, que t'y prends ton pied sans même qu'elle ait mis ses doigts sur toi, mais ça ne tardera pas. parce qu'à chaque fois t'en veux plus, t'exagères, abuse de l'alcool dans son corps qui rendent ses cuisses faciles, sa naïveté profitable. de laisser le loup la pourlécher comme ça, avec la promesse de ne pas la dévorer, juste y goûter, y noyer tes lèvres et t'y maudire en maux de ventre. tu la baiserais tellement. ce serait tellement bon, mais après, ce serait terminé. elle te donne l'impression d'être en vie, là, à trembler sous ton baiser. t'as envie de lui en arracher tellement, des orgasmes, jusqu'à ce qu'elle en pleure, jusqu'à ce que son corps n'en puisse plus de jouir et que tu continues encore. encore. encore. au délà de son point de rupture. plus chaud que son point d'ébullition. calme-toi, kick, fucking calme-toi. c'est pas ta faute. elle aime ça. elle adore ça. elle en râle et tu crois pas, qu'aucune filles, qu'aucuns gars, avaient cette teinte de désespoir-là ce combat intérieur. ton souffle qui rigole à même sa peau sensible, quand tu relèves doucement le visage vers elle et repassant ta langue contre son miel qui mouille encore ta lèvre supérieure. la voix rauque de désir quand tu lui réponds. " t'es pas censée, de résister. " même si tu te demandes, si t'y prendrais pas un peu de plaisir, de la sentir lutter sous toi. c'est juste qu'après s'être débattue sous ton emprise, elles deviennent chiantes les filles, elles veulent porter plaintes et tout et tout. après ça coûte cher pour les faire taire ou les faire disparaître. chiant. leur manque de collaboration à ton plaisir sadique. fucking chiant. impardonnable qu'elles ne comprennent pas toutes être des chiennes juste bonne à te satisfaire. inacceptable. whatever. elle te promets, diwa, que c'est toi qui va la rendre dingue et tu lui souris, parce que c'est bien ton intention, elle ne sait juste pas à quel point. et elle flanche, encore, t'excites, encore. pourquoi est-ce qu'elle fait sonner ça si bien, la possibilité que tu l'achèves ? pas ce soir, kick, pas ce soir. tu sais plus, toi non plus, qui t'essaye de convaincre. "promis... " que tu ne sais plus si tu mens ou pas, on verra. pour l'instant t'as mis à faire que te questionner. la bouche et les doigts qui replongent, pour embrasser, pour caresser, sans jamais rien briser, ni pénétrer, ni enfoncer. gardant techniquement, une virginité, hymen intact même si tu cherches son plaisir dans les terminaisons nerveuses déjà hypersensibles. la langue qui joue avec les limites, qui se retient de s'enfoncer trop loin en elle quand le rythme de ta bouche s'accélère sans pitié pour son ventre qui se tord. et t'es même pas certain que tu sauras te contenter d'un dernier orgasme, c'est presque raisonnable de ta part. peut-être même que c'est pas assez mémorable pour qu'elle soit vraiment dingue de toi. peut-être qu'elle t'y rend accro aussi, un orgasme se déversant dans ta bouche à la fois. pas le premier, pas le dernier. faudrait bien la distraire, entre deux cours ennuyants à en mourir. à même la bibliothèque ou whatever.

son souffle qui vient taquiner la zone encore trop sensible alors qu’il rit à ses plaintes, la torture un peu plus alors la regarde en passant la langue sur sa lèvre. et elle se surprend à trouver ça incroyablement sexy, s’en mord la lèvre sans s’en rendre compte alors que le sang lui monte aux joues, qu’elle a chaud, beaucoup trop chaud. la tête qui tourne, et elle sait plus si c’est l’alcool, lui, ses lèvres, ou le tout mélangé. probablement le mix de tout ça. et sa voix qui descend dans les graves n’arrange rien du tout, vient achever le peu de lucidité qui lui reste, alors que l’envie lui prend de l’embrasser. envie soudaine qu’elle contient alors qu’elle reste sagement en place, parce qu’elle pas sûre de ce qu’elle serait capable de faire si elle venait se perdre contre ses lèvres, contre son corps, là, maintenant, tout de suite. sûrement trop, beaucoup trop de choses. des choses que son cerveau n’est même pas encore capable de visualiser. ça l’excite autant que ça la terrifie. pas ce soir. semblant de barrière qui semble se dresser alors qu’elle se perd dans ses prunelles, le corps qui a déjà cédé depuis longtemps, essaie de convaincre l’esprit de suivre. « ah bah là c’est sûr que je vais pas y arriver. » ça lui échappe avant qu’elle ait le temps de se retenir, sort dans une plainte teintée du désir qui la dévore alors que la voix est bien trop faible pour opposer une résistance réelle. promesse de s’en tenir là qui vient l’achever, et elle a pas le temps de lutter plus longtemps, pas le temps de réagir, de négocier, de s’assurer qu’il s’en tiendra à sa promesse qu’il a déjà ses lèvres sur elle, y rajoute des caresses qu’il s’était interdit jusque là, et elle peut pas s’empêcher de retomber sur le matelas, incapable de retenir les gémissements qui lui échappe alors que le dos se cambre, les hanches qui se lèvent malgré elle, comme pour aller à sa rencontre, pour en avoir plus, encore. le cerveau complètement court circuité alors qu’elle savoure chaque sensation, chaque onde qui la traverse, en oublie ses retenues, sa pudeur, tout, parce qu’il la rend folle, lui en ferait presque perdre la tête, perdre la notion du temps. c’en est presque meilleur, de savoir ce qui l’attend, de savoir jusqu’où le plaisir peut aller, l’excitation qui monte en elle alors que ses muscles se tendent. une main qui vient se serrer sur les draps, comme on s’accrocherait à une bouée, perdu en pleine mer, alors que l’autre vient se perdre dans la tignasse blonde entre ses jambes, comme pour l’y garder, pour faire durer l’instant encore un peu plus longtemps. elle perd complètement le contrôle sous sa langue, et ça pourrait l’effrayer, devrait, mais elle refuse d’y penser pour l’instant, préfère se concentrer sur chaque vague de plaisir, sur chaque tremblement qui vient la secouer, sur chaque souffle qui lui échappe, où son prénom se mêle, encore et encore, nouvelle litanie qui naît dans sa gorge, bien loin de celle qu’elle a l’habitude de réciter. jusqu’à ce que la voix se brise à nouveau, que le souffle se coupe, les poumons qui menacent d’exploser alors qu’une nouvelle onde de chaleur l’envahit, soubresaut de plaisir qui l’achève, la laisse avec cette sensation d’avoir les muscles engourdies alors que la tension se relâche. et il avait raison, elle pourrait s’endormir, là, tout de suite, ne se réveiller que le lendemain, voir le surlendemain. elle n’essaie même pas de se redresser, pas la force, alors qu’elle essaie de retrouver son souffle, de calmer son coeur qui lui explose la cage thoracique. « kick, je… maintenant on dort ? je… suis vidée… et… t’as promis…? » elle sait plus si c’est lui qu’elle essaie de convaincre qu’il doit arrêter ou si c’est elle qu’elle cherche à rassurer, à se rappeler qu’elle a assez cédé pour une nuit. bien plus qu’il n’en fallait.

vous n'êtes plus qu'un joli bordel, de désirs et de souffles. surtout elle. ton souffle qui fait désordre dans ses désirs, et tes propres envies qui en deviennent chaotique. des promesses presque impossible à tenir. tu pensais pas. qu'un jour tu thrill se trouverait dans les tremblements d'un autre corps. toi qui baisais trop souvent comme on dévore un repas sans vraiment y goûter, pour ensuite t'essuyer la bouche du revers de la main. et pourtant là, tu veux qu'elle frissone, que ses cuisses et son ventre ne soient qu'un tumulte sans noms autre que le tien qui se perd dans les trop aigus de sa voix et éclats. tellement belle, le sang aux joues, l'innocence qui s'explose dans sa voix qui chante juste pour toi. et peut-être qu'au fond tu la protèges en restant sagement, ou presque, les lèvres entre ses cuisses. parce que tes hanches par-dessus les siennes, vos langues entre-mêlées, tu ne donnerais pas cher de sa virginité. which one of you would be the weakest ? bonne question. parce qu'elle a autant de mal que toi à résister à l'arc-en-ciel de vos conneries qui pourraient se faire au corps à corps ce soir, cette nuit. toute la nuit. sa peau qui se tort de nouveau sous tes caresses, ne la laissant être que gémissements en bordel. le dos qui se creuse et le coeur qui s'offre à ta langue, celui que tu pourrais sentir se débattre, en pulsant contre la chaire, hurlant à l'aide, mais personne l'entends, surtout pas toi. toi qui ne le sauveras pas. n'est que sable mouvant qui vont l'avaler vivant. oups. ne fait que t'encourager quand ses hanches se tendent vers toi, réclament, te confortant en t'arrachant toute culpabilité. encore aurait-il fallu que t'en ai. tu lui donnes juste ce qu'elle demande du creux de supplications de sa gorge. une main pas du tout timide qui s'accroche à ta crinière, de quoi s'accrocher pour mieux déraper, sublime perte de contrôle quand son corps convulse sans qu'elle ne puisse l'empêcher. les lèvres aussi torturées par ton nom que chaque cellule de son corps peut bien l'être. et peut-être que t'en deviens un peu un dieu à louer, sous ses prières. celles informelles, celle que t'entends mal, pas certain si elle te supplie d'arrêter, de continuer ou de l'achever. la deuxième fois encore mieux que la première, quand le tsunami est passé sur son âme et qu'il ne reste que quelques petits remous au bord de la mer pour la secouer encore. l'eau de son corps qui devient calme, las de trop de plaisir alors que tu t'entêtes avec un dernier baiser à te tremper encore un peu, son miel pour mieux barbouiller ton visage, de tes lèvres à ton menton, sans oublier ton nez. tu l'as vidée et pourtant, toi, t'es encore trop plein. t'as pas encore assez mal à la mâchoire, à la langue, au souffle. y a que ta patience qui a été cruellement amochée. et contre le capharnaüm de sa respiration, tu ne sais plus ce qu'elle demande, ce que t'entends, ce que vous voulez. tu sais juste que tu remontes vers elle, au-dessus d'elle. tes lèvres qui viennent menacer le sommeil des siennes. promettant qu'il est meilleur de se perdre dans tes bras que dans ceux de morphée. ta main qui s'entête, à continuer de la caresser, doucement, la peau sensible et encore gonflée que t'as du mal à laisser tranquille. "huh, huh ? you sure ? i could go on all for days.. " ça aussi, ça sonne comme une promesse, une promesse que tu pourrais sincèrement tenir, cette fois. une menace aussi, que tu saurais mettre en marche. "i want you so hard, diwa. i'm not sure i'll survive this night." assurance, parce que derrière ta ceinture, il y a ton propre désir frustré qui ne demande qu'à exploser, à en devenir bleu d'être refoulé. le bois sur lequel tu devras dormir. l'inassouvissement comme nouveau âcre au fond de la gorge. un non qui vient de toi, cette fois, mais que t'as quand même du mal à respecter. cherche encore à te convaincre, que ce sera mieux quand elle sera complètement consciente de ses faits et gestes. qu'elle n'aura aucunes excuses pour n'avoir aucune retenue.

prête à s'endormir. vraiment. épuisée de ce trop plein d'émotions, de ce trop plein de sensations, de toutes ces découvertes qui l'ont terrassée ce soir. incapable de réfléchir, de penser à quoi que ce soit, comme si le cerveau s'était mis en veille après une surchauffe certaine. c'est tout son corps semble se consumer pour l'instant, du moins ce qu'il en reste. le moindre effleurement qui lance une vague de frisson qu'elle est parfaitement incapable de maîtriser, alors que le souffle est encore court, qu'elle peine à le retrouver. elle sait plus où elle en est, ne sait plus ce qu'elle veut alors qu'il remonte, sans pour autant lui laisser le moindre instant de répit alors qu'il glisse déjà sa main là où ses lèvres étaient encore l'instant d'avant. qu'il insiste, encore, son visage au dessus du sien alors que ses doigts glissent entre ses jambes, ravivent les braises à peine éteintes alors qu'elle plonge dans ses yeux de glaces, y cherche de quoi tenir, de quoi résister. n'y trouve que le reflet de son propre désir qui la dévaste depuis qu'ils ont mis les pieds dans cette chambre. « mhm... ? » les lèvres qui restent scellées parce qu'elle ne fait plus confiance à ce qui pourrait sortir de sa bouche, pas quand il laisse entrevoir qu'il pourrait continuer sans fin à la torturer de la sorte. oui silencieux qui sonne plus comme une interrogation qu'autre chose, parce qu'elle doute. qu'elle essaie de se rappeler qu'elle s'est promis de ne pas aller trop loin ce soir. qu'elle essaie de se souvenir qu'elle a des principes. qu'ils servent à quelques choses. que si elle craque ce soir, elle s'en voudra au matin, c'est certain. déjà pas tout à fait convaincue qu'elle assumera quoique ce soit une fois l'alcool évaporé de son système. sauf qu'il est loin d'arranger les choses, avec ses aveux, qu'il vient à nouveau ébranler ses barrières alors qu'elle vient placer ses mains de chaque côté de son visage. son pouce qui glisse distraitement sur ses lèvres encore humide, et elle réalise pas vraiment, perdue comme dans un univers parallèle qui lui semble trop irréaliste pour être vrai. les mots qui résonnent différemment en elle, que tout ce qu'elle a pu entendre jusqu'à présent. parce qu'elle aurait jamais cru pouvoir éveiller une telle passion chez qui que ce soit. qu'elle pourrait facilement se jeter dans les flammes, venir s'y brûler les ailes sans une once d'hésitation. presque. « kick... t'as promis. que tu me laisserais pas craquer... » à peine un murmure, défense ridicule face à la proximité de son corps qui lui fait perdre la tête. le pouce qui remonte sur la joue alors qu'il a toujours sa main entre ses jambes, que la moindre caresse vient secouer ses inhibitions. ses lèvres qui finissent par faire disparaître la distance alors qu'elle vient chercher l'oubli contre les siennes, s'y noie alors que son corps lui échappe, vient se coller contre le sien. ses bras qui s'enroule derrière sa nuque alors qu'elle laisse glisser sa langue contre la sienne, le coeur qui s'accélère à nouveau, et elle se demande comment c'est possible, qu'il tienne encore, avec les montagnes russes qu'elle lui fait subir, se demande comment ça se fait que le dit coeur ne l'ait pas encore lâché. soudain sursaut de conscience alors qu'elle vient placer ses mains sur son torse, s'arrache à ses lèvres malgré l'envie puissante d'y rester. « je... je ferais mieux de... dormir sur le canapé... » pas la moindre envie de s'arracher à ses draps, mais elle peut pas s'empêcher de se dire que ça va forcément déraper, si elle reste là.